Lettre n° 6173
Par la grâce de D.ieu,
10 Nissan 5718,
Brooklyn, New York,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu et se consacre
aux besoins communautaires, le Rav Yossef(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu, en son temps, votre lettre, qui faisait réponse à ma réaction, concernant ce qui s’est passé, lors de la célébration du 19 Kislev, à Kfar ‘Habad(2). Je dois dire que vos explications ne m’ont pas satisfait. Vous dites, pour vous citer, que “ je ne fais pas partie de ceux qui ont eu le mérite de grandir dans un environnement ‘hassidique et je n’ai donc pas ressenti une élévation de l’âme ”. Telle est pourtant bien la finalité de la Torah d’Israël et des coutumes juives. De fait, une coutume est partie intégrante de la Torah et elle doit donc, dans un premier temps, être appliquée avec soumission. C’est uniquement par la suite que les forces révélées de l’âme fonctionnent pleinement. Selon l’expression bien connue, c’est en mettant en pratique le principe : “ Nous ferons et (ensuite) nous comprendrons ” que l’on obtient effectivement “ nous comprendrons ”. En tout état de cause, il est inutile de se plaindre du passé. J’espère qu’à l’avenir, une telle discussion sera inutile, que votre participation aux réunions ‘hassidiques ne sera liée à aucun calcul préalable.
A l’occasion de la fête des Matsot, temps de notre liberté, qui approche, je vous adresse mes vœux pour une libération véritable des limites et des barrières, de tout ce qui fait obstacle, matériellement et spirituellement. Avec ma bénédiction pour une fête de Pessa’h cachère et joyeuse,
Notes
(1) Rav Y. Burg, dirigeant du parti national religieux. Voir, à son sujet, la lettre n°5962.
(2) Voir, à ce sujet, la lettre n°5962.
10 Nissan 5718,
Brooklyn, New York,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu et se consacre
aux besoins communautaires, le Rav Yossef(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu, en son temps, votre lettre, qui faisait réponse à ma réaction, concernant ce qui s’est passé, lors de la célébration du 19 Kislev, à Kfar ‘Habad(2). Je dois dire que vos explications ne m’ont pas satisfait. Vous dites, pour vous citer, que “ je ne fais pas partie de ceux qui ont eu le mérite de grandir dans un environnement ‘hassidique et je n’ai donc pas ressenti une élévation de l’âme ”. Telle est pourtant bien la finalité de la Torah d’Israël et des coutumes juives. De fait, une coutume est partie intégrante de la Torah et elle doit donc, dans un premier temps, être appliquée avec soumission. C’est uniquement par la suite que les forces révélées de l’âme fonctionnent pleinement. Selon l’expression bien connue, c’est en mettant en pratique le principe : “ Nous ferons et (ensuite) nous comprendrons ” que l’on obtient effectivement “ nous comprendrons ”. En tout état de cause, il est inutile de se plaindre du passé. J’espère qu’à l’avenir, une telle discussion sera inutile, que votre participation aux réunions ‘hassidiques ne sera liée à aucun calcul préalable.
A l’occasion de la fête des Matsot, temps de notre liberté, qui approche, je vous adresse mes vœux pour une libération véritable des limites et des barrières, de tout ce qui fait obstacle, matériellement et spirituellement. Avec ma bénédiction pour une fête de Pessa’h cachère et joyeuse,
Notes
(1) Rav Y. Burg, dirigeant du parti national religieux. Voir, à son sujet, la lettre n°5962.
(2) Voir, à ce sujet, la lettre n°5962.