Lettre n° 6174
Par la grâce de D.ieu,
10 Nissan 5718,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
A) Je fais réponse à votre lettre de la fin du mois de Chevat, dont l’acheminement a été retardé, plus qu’à l’accoutumée. J’y ai lu avec plaisir que vous vous trouvez dans un cadre ‘Habad. Il est inutile de vous souligner que le fait de se trouver dans un tel contexte implique de s’intéresser également à l’étude de son enseignement et, point essentiel, aux pratiques et aux coutumes qui en découlent. De manière naturelle, un homme avance par étape et non pas en une seule fois, d’une extrême à l’autre. Pour autant, c’est bien dans cette direction qu’il faut s’orienter. Et, rien ne résiste à la volonté. J’espère que vous me donnerez de bonnes nouvelles de votre progrès, en la matière, de même que de l’influence que vous exercerez, en ce sens, sur vos amis.
B) Vous me dites qu’en travaillant, vous salissez vos Tsitsit. Vous devez, malgré tout, porter un Talith Katan. Du reste, la partie essentielle et la plus longue de votre travail consiste sûrement à faire en sorte que vous ne vous salissiez pas. En outre, vous aurez un second Talith Katan pour la prière, le Chabbat et les fêtes.
C) S’agissant du lieu de la prière et de la façon de prier, tout dépend, bien sûr, des conditions de l’endroit. Vous prendrez donc conseil auprès de ceux qui ont acquis des connaissances, en la matière. Puisse D.ieu faire que vous preniez la bonne décision, en conformité avec la ferveur nécessaire à la prière et sa finalité, puisqu’elle est le service de D.ieu du cœur, rapprochant l’homme de son Créateur, attirant les bénédictions célestes afin de satisfaire pleinement les besoins de l’homme.
Vous avez sûrement profité des jours de Pourim de la manière qui convient et vous disposez d’un programme établi pour les jours de Pessa’h. Puisse D.ieu faire que vous vous renforciez dans le Judaïsme, la Torah, les Mitsvot, au quotidien. Et, comme le dit la Michna, “ l’acte est essentiel ”. Avec ma bénédiction pour une fête de Pessa’h cachère et joyeuse,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
10 Nissan 5718,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
A) Je fais réponse à votre lettre de la fin du mois de Chevat, dont l’acheminement a été retardé, plus qu’à l’accoutumée. J’y ai lu avec plaisir que vous vous trouvez dans un cadre ‘Habad. Il est inutile de vous souligner que le fait de se trouver dans un tel contexte implique de s’intéresser également à l’étude de son enseignement et, point essentiel, aux pratiques et aux coutumes qui en découlent. De manière naturelle, un homme avance par étape et non pas en une seule fois, d’une extrême à l’autre. Pour autant, c’est bien dans cette direction qu’il faut s’orienter. Et, rien ne résiste à la volonté. J’espère que vous me donnerez de bonnes nouvelles de votre progrès, en la matière, de même que de l’influence que vous exercerez, en ce sens, sur vos amis.
B) Vous me dites qu’en travaillant, vous salissez vos Tsitsit. Vous devez, malgré tout, porter un Talith Katan. Du reste, la partie essentielle et la plus longue de votre travail consiste sûrement à faire en sorte que vous ne vous salissiez pas. En outre, vous aurez un second Talith Katan pour la prière, le Chabbat et les fêtes.
C) S’agissant du lieu de la prière et de la façon de prier, tout dépend, bien sûr, des conditions de l’endroit. Vous prendrez donc conseil auprès de ceux qui ont acquis des connaissances, en la matière. Puisse D.ieu faire que vous preniez la bonne décision, en conformité avec la ferveur nécessaire à la prière et sa finalité, puisqu’elle est le service de D.ieu du cœur, rapprochant l’homme de son Créateur, attirant les bénédictions célestes afin de satisfaire pleinement les besoins de l’homme.
Vous avez sûrement profité des jours de Pourim de la manière qui convient et vous disposez d’un programme établi pour les jours de Pessa’h. Puisse D.ieu faire que vous vous renforciez dans le Judaïsme, la Torah, les Mitsvot, au quotidien. Et, comme le dit la Michna, “ l’acte est essentiel ”. Avec ma bénédiction pour une fête de Pessa’h cachère et joyeuse,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,