Lettre n° 6199
Par la grâce de D.ieu,
28 Nissan 5718,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu votre lettre avec une grande émotion. Vous faites référence à ma proposition que votre fils devienne mon émissaire et, dans cette lettre, vous exprimez votre forte opposition à ce projet. La raison de mon émotion est la suivante. Je pensais que vous souhaitiez, pour lui, la meilleure installation possible, alors que vous écrivez, dans votre lettre, uniquement ce qui est bon pour vous !
Mon émotion a été encore plus grande quand votre fils, le Rav et son épouse sont venus me voir, afin de discuter de ce projet. J’ai pensé qu’il était l’un de mes soldats et que je pouvais lui confier une mission, mais il semble qu’avant de prendre une décision, il lui faille consulter sa mère et sa famille. Bien entendu, poser des conditions, demander pour combien de temps puis rechercher l’avis de la famille n’est pas le comportement d’un soldat. En conséquence, j’annule complètement ma proposition. Vous n’avez donc pas lieu de vous lamenter, de m’écrire que cela affecte votre santé. Il est bien clair que mon but n’est pas de nuire à la santé de quiconque. Que D.ieu leur accorde et vous accorde une grande réussite, en tous vos besoins. Puisse-t-Il faire qu’il s’agisse d’une véritable réussite, d’un bien visible et tangible. Avec ma bénédiction,
28 Nissan 5718,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu votre lettre avec une grande émotion. Vous faites référence à ma proposition que votre fils devienne mon émissaire et, dans cette lettre, vous exprimez votre forte opposition à ce projet. La raison de mon émotion est la suivante. Je pensais que vous souhaitiez, pour lui, la meilleure installation possible, alors que vous écrivez, dans votre lettre, uniquement ce qui est bon pour vous !
Mon émotion a été encore plus grande quand votre fils, le Rav et son épouse sont venus me voir, afin de discuter de ce projet. J’ai pensé qu’il était l’un de mes soldats et que je pouvais lui confier une mission, mais il semble qu’avant de prendre une décision, il lui faille consulter sa mère et sa famille. Bien entendu, poser des conditions, demander pour combien de temps puis rechercher l’avis de la famille n’est pas le comportement d’un soldat. En conséquence, j’annule complètement ma proposition. Vous n’avez donc pas lieu de vous lamenter, de m’écrire que cela affecte votre santé. Il est bien clair que mon but n’est pas de nuire à la santé de quiconque. Que D.ieu leur accorde et vous accorde une grande réussite, en tous vos besoins. Puisse-t-Il faire qu’il s’agisse d’une véritable réussite, d’un bien visible et tangible. Avec ma bénédiction,