Lettre n° 6207
Par la grâce de D.ieu,
1er Iyar 5718,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 29 Nissan et à celle qui la précédait. Vous me faites part de vos efforts pour vous élever dans la Torah et les Mitsvot, pour vous opposer à la force du mal d’Amalek, celle de la froideur et du doute. Et, vous sollicitez mon conseil, à ce propos. La réponse à votre question figure dans les livres de ‘Hassidout. L’idée essentielle, en la matière, est d’ignorer les avances du mauvais penchant, imaginant un stratagème pour susciter la froideur et semer le doute. La solution et la réponse doivent être que vous n’avez pas le temps d’engager le dialogue avec lui. Vous devez étudier, accomplir telle Mitsva, convaincre vos amis et vos proches d’en faire de même. Chacun d’entre nous est le serviteur du Maître du monde. Or, un serviteur n’est pas autonome. Il ne peut perdre son temps en discutant avec qui bon lui semble, car son Maître lui a confié des missions qu’il se doit d’assumer.
Pour renforcer l’aide de D.ieu, vous prélèverez, chaque jour de semaine, avant la prière du matin, quelques pièces pour la Tsédaka. Après la prière, chaque jour, y compris le Chabbat et les fêtes, vous lirez des Tehilim selon leur répartition mensuelle. Et, vous rechercherez le bien, spirituel et matériel, de votre prochain. Que D.ieu vous accorde la réussite de donner de bonnes nouvelles de tout cela. Avec ma bénédiction,
1er Iyar 5718,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 29 Nissan et à celle qui la précédait. Vous me faites part de vos efforts pour vous élever dans la Torah et les Mitsvot, pour vous opposer à la force du mal d’Amalek, celle de la froideur et du doute. Et, vous sollicitez mon conseil, à ce propos. La réponse à votre question figure dans les livres de ‘Hassidout. L’idée essentielle, en la matière, est d’ignorer les avances du mauvais penchant, imaginant un stratagème pour susciter la froideur et semer le doute. La solution et la réponse doivent être que vous n’avez pas le temps d’engager le dialogue avec lui. Vous devez étudier, accomplir telle Mitsva, convaincre vos amis et vos proches d’en faire de même. Chacun d’entre nous est le serviteur du Maître du monde. Or, un serviteur n’est pas autonome. Il ne peut perdre son temps en discutant avec qui bon lui semble, car son Maître lui a confié des missions qu’il se doit d’assumer.
Pour renforcer l’aide de D.ieu, vous prélèverez, chaque jour de semaine, avant la prière du matin, quelques pièces pour la Tsédaka. Après la prière, chaque jour, y compris le Chabbat et les fêtes, vous lirez des Tehilim selon leur répartition mensuelle. Et, vous rechercherez le bien, spirituel et matériel, de votre prochain. Que D.ieu vous accorde la réussite de donner de bonnes nouvelles de tout cela. Avec ma bénédiction,