Lettre n° 6239
Par la grâce de D.ieu,
11 Iyar 5718,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Après une longue interruption, j’ai reçu votre lettre de l’issue du Chabbat, dans laquelle vous me décrivez l’état de vos affaires. Vous vous demandez ce que sera le bilan de cette année.
Il est sûrement inutile de vous expliquer longuement ce qu’est la confiance en D.ieu. Or, il ne suffit pas de l’apprendre dans les livres. Il faut encore l’éprouver concrètement. Quand survient un moment qui n’est pas ce que l’on voudrait qu’il soit, il faut raffermir cette confiance et se dire que cela va passer. Selon les termes du verset, “ l’Eternel votre D.ieu vous met à l’épreuve ”. Quand Il voit que l’on a surmonté cette épreuve, Il fait en sorte que l’on observe, de ses yeux de chair, qu’il y avait uniquement là une épreuve, un voile sans existence véritable. L’un des moyens de hâter l’amélioration de sa subsistance est d’augmenter sa participation à la Tsédaka. Votre épouse en fera de même, de son propre argent. Par ailleurs, elle respecte sûrement la coutume positive des femmes juives vertueuses, qui consiste à donner de la Tsédaka avant d’allumer les bougies, à la veille du Chabbat et des fêtes.
* * *
A madame…, que D.ieu vous accorde longue vie,
Je vous bénis et vous salue,
Votre mari m’écrit que vous êtes, D.ieu merci, parvenu à la fin du huitième mois. Je souhaite donc que tout se passe bien et que vous donniez aisément naissance à un enfant en bonne santé, le moment venu.
Vous avez sûrement connaissance de la coutume des femmes juives vertueuses, qui consiste à donner de la Tsédaka chaque fois qu’on allume les bougies et vous la respectez. Compte tenu de votre état actuel et également de votre situation commerciale, vous devez adopter le conseil de nos Sages, celui d’élargir votre contribution à la Tsédaka, en général et avant d’allumer les bougies, en particulier. D.ieu a donné l’assurance que, de cette façon, non seulement, on ne perdra rien, mais, bien au contraire, on y gagnera. Avec ma bénédiction afin de donner de bonnes nouvelles de tout ce qui vient d’être dit,
N. B. : Vous m’écrivez que vous voulez demander au propriétaire de partager le second étage et de réduire le loyer en conséquence. Si cela est aisé à réaliser, vous pourrez le faire. A l’opposé, si des efforts et des interventions particulières sont nécessaires pour cela, cela n’est pas justifié. Au final, cette année sera bonne et, plus important encore, vos gains seront utilisés en bonne santé et dans la joie.
11 Iyar 5718,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Après une longue interruption, j’ai reçu votre lettre de l’issue du Chabbat, dans laquelle vous me décrivez l’état de vos affaires. Vous vous demandez ce que sera le bilan de cette année.
Il est sûrement inutile de vous expliquer longuement ce qu’est la confiance en D.ieu. Or, il ne suffit pas de l’apprendre dans les livres. Il faut encore l’éprouver concrètement. Quand survient un moment qui n’est pas ce que l’on voudrait qu’il soit, il faut raffermir cette confiance et se dire que cela va passer. Selon les termes du verset, “ l’Eternel votre D.ieu vous met à l’épreuve ”. Quand Il voit que l’on a surmonté cette épreuve, Il fait en sorte que l’on observe, de ses yeux de chair, qu’il y avait uniquement là une épreuve, un voile sans existence véritable. L’un des moyens de hâter l’amélioration de sa subsistance est d’augmenter sa participation à la Tsédaka. Votre épouse en fera de même, de son propre argent. Par ailleurs, elle respecte sûrement la coutume positive des femmes juives vertueuses, qui consiste à donner de la Tsédaka avant d’allumer les bougies, à la veille du Chabbat et des fêtes.
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A madame…, que D.ieu vous accorde longue vie,
Je vous bénis et vous salue,
Votre mari m’écrit que vous êtes, D.ieu merci, parvenu à la fin du huitième mois. Je souhaite donc que tout se passe bien et que vous donniez aisément naissance à un enfant en bonne santé, le moment venu.
Vous avez sûrement connaissance de la coutume des femmes juives vertueuses, qui consiste à donner de la Tsédaka chaque fois qu’on allume les bougies et vous la respectez. Compte tenu de votre état actuel et également de votre situation commerciale, vous devez adopter le conseil de nos Sages, celui d’élargir votre contribution à la Tsédaka, en général et avant d’allumer les bougies, en particulier. D.ieu a donné l’assurance que, de cette façon, non seulement, on ne perdra rien, mais, bien au contraire, on y gagnera. Avec ma bénédiction afin de donner de bonnes nouvelles de tout ce qui vient d’être dit,
N. B. : Vous m’écrivez que vous voulez demander au propriétaire de partager le second étage et de réduire le loyer en conséquence. Si cela est aisé à réaliser, vous pourrez le faire. A l’opposé, si des efforts et des interventions particulières sont nécessaires pour cela, cela n’est pas justifié. Au final, cette année sera bonne et, plus important encore, vos gains seront utilisés en bonne santé et dans la joie.