Lettre n° 6242
Par la grâce de D.ieu,
12 Iyar 5718,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu et se consacre aux
besoins communautaires, aux comportements vertueux,
le Rav Chlomo(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre de Roch ‘Hodech Iyar, dans laquelle vous faites référence à votre épouse, madame Feïla. Je mentionnerai son nom encore une fois près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, afin que son état de santé s’améliore très prochainement. Vous aurez, avec elle, pour de longs jours et de bonnes années, beaucoup de satisfaction, une satisfaction juive, de vos enfants et de vos petits-enfants.
Bien plus, vous m’écrivez de quelle famille vous êtes issu et plusieurs points que vous me communiquez étaient, pour moi, réellement nouveaux. Ceci vous protégera en ce qui vient d’être dit. Comme vous le savez, nos Sages disent que : “ quand on décoche une flèche en l’air, celle-ci retombe sur sa pointe ”(2). Combien plus en est-il ainsi pour la chaleur et l’enthousiasme ‘hassidiques que les ancêtres ont reçus de nos saints maîtres, fondateurs de la ‘Hassidout ‘Habad. On sait que les paroles et les actions des Justes sont immuables, au sens le plus littéral, dans l’existence quotidienne. A n’en pas douter, ces bénédictions élargiront celles de D.ieu en tout ce qui vient d’être dit. Dans l’attente de vos bonnes nouvelles, je conclus en vous accordant ma bénédiction matérielle et spirituelle.
Je viens de recevoir votre lettre m’annonçant l’amélioration de son état de santé(3). Je vous en remercie beaucoup, de même que pour la photographie de vos petites-filles, qui auront de longs jours et de bonnes années.
Notes
(1) Le Rav C. Perin, de Londres. Voir, à son sujet, la lettre n°6494.
(2) On revient toujours vers sa source.
(3) Celui de l’épouse du destinataire de cette lettre.
12 Iyar 5718,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu et se consacre aux
besoins communautaires, aux comportements vertueux,
le Rav Chlomo(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre de Roch ‘Hodech Iyar, dans laquelle vous faites référence à votre épouse, madame Feïla. Je mentionnerai son nom encore une fois près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, afin que son état de santé s’améliore très prochainement. Vous aurez, avec elle, pour de longs jours et de bonnes années, beaucoup de satisfaction, une satisfaction juive, de vos enfants et de vos petits-enfants.
Bien plus, vous m’écrivez de quelle famille vous êtes issu et plusieurs points que vous me communiquez étaient, pour moi, réellement nouveaux. Ceci vous protégera en ce qui vient d’être dit. Comme vous le savez, nos Sages disent que : “ quand on décoche une flèche en l’air, celle-ci retombe sur sa pointe ”(2). Combien plus en est-il ainsi pour la chaleur et l’enthousiasme ‘hassidiques que les ancêtres ont reçus de nos saints maîtres, fondateurs de la ‘Hassidout ‘Habad. On sait que les paroles et les actions des Justes sont immuables, au sens le plus littéral, dans l’existence quotidienne. A n’en pas douter, ces bénédictions élargiront celles de D.ieu en tout ce qui vient d’être dit. Dans l’attente de vos bonnes nouvelles, je conclus en vous accordant ma bénédiction matérielle et spirituelle.
Je viens de recevoir votre lettre m’annonçant l’amélioration de son état de santé(3). Je vous en remercie beaucoup, de même que pour la photographie de vos petites-filles, qui auront de longs jours et de bonnes années.
Notes
(1) Le Rav C. Perin, de Londres. Voir, à son sujet, la lettre n°6494.
(2) On revient toujours vers sa source.
(3) Celui de l’épouse du destinataire de cette lettre.