Lettre n° 6244
Par la grâce de D.ieu,
14 Iyar 5718,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai obtenu des nouvelles de vous-même et de votre mode de vie. Bien entendu, je serai désolé que ces nouvelles soient vérifiées. En effet, on m’a dit que vous multipliez les jeûnes, que les membres de votre famille vous demandent, avec insistance, de consulter un médecin à propos de votre état de santé, mais que vous ne tenez aucun compte de leurs propos, que vous ne vous conformez pas aux prescriptions médicales, que vous ne voulez même pas vous rendre chez le médecin..
Il est sûrement inutile d’insister sur le fait que nous avons reçu l’Injonction suivante : “ Vous prendrez bien garde de vos âmes ” ou encore de commenter les paroles du grand maître, le Rambam, dans son ouvrage Yad Ha ‘Hazaka, lois des opinions, selon lesquelles on ne peut pas comprendre et avoir une activité intellectuelle, quand on est affamé et malade. On doit, en effet, avoir un corps intègre pour servir D.ieu. Vous consulterez, à ce propos, la fin du chapitre 3 et le début du chapitre 4 de ces lois. Pour tout ce qui concerne la santé, “ la Torah a autorisé le médecin à guérir ” et plusieurs lois sont tranchées en ce sens, dans le Choul’han Arou’h, lois du Chabbat et lois de Yom Kippour, pour les jeûnes, plus spécifiquement, l’Admour Hazaken, auteur du Tanya et Décisionnaire de la partie cachée de la Torah, auteur du Choul’han Arou’h et Décisionnaire de la partie révélée de la Torah, tranche qu’en nos générations, la multiplication des jeûnes peut provoquer la maladie ou la faiblesse, ce qu’à D.ieu ne plaise. Une telle pratique est donc interdite et vous consulterez, à ce sujet, les propos terribles figurant dans Iguéret Ha Techouva, du même auteur, au chapitre 3.
J’espère que ces quelques lignes vous suffiront pour modifier votre comportement, de la manière qui convient. Vous consulterez un médecin et vous vous conformerez à ses prescriptions, jusque dans le moindre détail. Que D.ieu renforce votre état de santé et que vous puissiez me donner de bonnes nouvelles de tout ce qui vous concerne. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles,
14 Iyar 5718,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai obtenu des nouvelles de vous-même et de votre mode de vie. Bien entendu, je serai désolé que ces nouvelles soient vérifiées. En effet, on m’a dit que vous multipliez les jeûnes, que les membres de votre famille vous demandent, avec insistance, de consulter un médecin à propos de votre état de santé, mais que vous ne tenez aucun compte de leurs propos, que vous ne vous conformez pas aux prescriptions médicales, que vous ne voulez même pas vous rendre chez le médecin..
Il est sûrement inutile d’insister sur le fait que nous avons reçu l’Injonction suivante : “ Vous prendrez bien garde de vos âmes ” ou encore de commenter les paroles du grand maître, le Rambam, dans son ouvrage Yad Ha ‘Hazaka, lois des opinions, selon lesquelles on ne peut pas comprendre et avoir une activité intellectuelle, quand on est affamé et malade. On doit, en effet, avoir un corps intègre pour servir D.ieu. Vous consulterez, à ce propos, la fin du chapitre 3 et le début du chapitre 4 de ces lois. Pour tout ce qui concerne la santé, “ la Torah a autorisé le médecin à guérir ” et plusieurs lois sont tranchées en ce sens, dans le Choul’han Arou’h, lois du Chabbat et lois de Yom Kippour, pour les jeûnes, plus spécifiquement, l’Admour Hazaken, auteur du Tanya et Décisionnaire de la partie cachée de la Torah, auteur du Choul’han Arou’h et Décisionnaire de la partie révélée de la Torah, tranche qu’en nos générations, la multiplication des jeûnes peut provoquer la maladie ou la faiblesse, ce qu’à D.ieu ne plaise. Une telle pratique est donc interdite et vous consulterez, à ce sujet, les propos terribles figurant dans Iguéret Ha Techouva, du même auteur, au chapitre 3.
J’espère que ces quelques lignes vous suffiront pour modifier votre comportement, de la manière qui convient. Vous consulterez un médecin et vous vous conformerez à ses prescriptions, jusque dans le moindre détail. Que D.ieu renforce votre état de santé et que vous puissiez me donner de bonnes nouvelles de tout ce qui vous concerne. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles,