Lettre n° 6250
Par la grâce de D.ieu,
16 Iyar 5718,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre, dans laquelle vous me posez les questions suivantes :
A) Un jeune homme de dix sept ans a-t-il le droit de s’approfondir ? Vous ne précisez ce que vous voulez dire, mais, d’après le contexte de votre lettre, il semble que vous fassiez référence aux devoirs moraux d’un Juif.
Il est bien évident, et la Torah tranche la Hala’ha en ce sens, que cela est non seulement permis, mais même obligatoire, comme le précise le Rambam, dans ses lois des fondements de la Torah, chapitre 1, paragraphe 6 : “ Le savoir est une Injonction de la Torah ”. C’est aussi ce que dit le Choul’han Arou’h, Ora’h ‘Haïm, au début du chapitre 98. Ce dernier texte fait référence à la prière, qui est une obligation pour chacun, trois fois par jour, dès l’âge de la Bar Mitsva et il précise qu’on la dit uniquement après avoir médité, au préalable, à la grandeur de D.ieu, béni soit-Il. Or, il ne s’agit pas uniquement de réfléchir à des mots, mais bien à des idées. Pour comprendre la grandeur de D.ieu, il faut méditer profondément à tout ce qui permet à un homme d’en prendre conscience. Différents livres exposent ces concepts, en particulier ceux de la ‘Hassidout. Vous vous efforcerez de rencontrer le grand Rav et ‘Hassid, Rav Na’houm Shmaryahou Sossonkin, dont l’adresse est la suivante : “ Chikoun Rabbanim, Roméma, Jérusalem ”. Il vous indiquera les références de tout ceci.
B) Vous me demandez comment acquérir l’humilité et mettre en pratique les termes de la Michna : “ Sois très, très humble… ”.
Vous étudierez, avec tout l’approfondissement nécessaire, le saint Tanya, au chapitre 30 et vous interrogerez également le Rav Sossonkin, à ce sujet. Il vous l’expliquera et vous ajoutera, en outre, d’autres précisions. Vous en ferez de même pour les autres points et questions qui figurent dans votre lettre. Vous avez sûrement connaissance des études portant sur le ‘Houmach, les Tehilim et le Tanya. Tout au moins les adopterez-vous, à l’avenir. Avec ma bénédiction,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
16 Iyar 5718,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre, dans laquelle vous me posez les questions suivantes :
A) Un jeune homme de dix sept ans a-t-il le droit de s’approfondir ? Vous ne précisez ce que vous voulez dire, mais, d’après le contexte de votre lettre, il semble que vous fassiez référence aux devoirs moraux d’un Juif.
Il est bien évident, et la Torah tranche la Hala’ha en ce sens, que cela est non seulement permis, mais même obligatoire, comme le précise le Rambam, dans ses lois des fondements de la Torah, chapitre 1, paragraphe 6 : “ Le savoir est une Injonction de la Torah ”. C’est aussi ce que dit le Choul’han Arou’h, Ora’h ‘Haïm, au début du chapitre 98. Ce dernier texte fait référence à la prière, qui est une obligation pour chacun, trois fois par jour, dès l’âge de la Bar Mitsva et il précise qu’on la dit uniquement après avoir médité, au préalable, à la grandeur de D.ieu, béni soit-Il. Or, il ne s’agit pas uniquement de réfléchir à des mots, mais bien à des idées. Pour comprendre la grandeur de D.ieu, il faut méditer profondément à tout ce qui permet à un homme d’en prendre conscience. Différents livres exposent ces concepts, en particulier ceux de la ‘Hassidout. Vous vous efforcerez de rencontrer le grand Rav et ‘Hassid, Rav Na’houm Shmaryahou Sossonkin, dont l’adresse est la suivante : “ Chikoun Rabbanim, Roméma, Jérusalem ”. Il vous indiquera les références de tout ceci.
B) Vous me demandez comment acquérir l’humilité et mettre en pratique les termes de la Michna : “ Sois très, très humble… ”.
Vous étudierez, avec tout l’approfondissement nécessaire, le saint Tanya, au chapitre 30 et vous interrogerez également le Rav Sossonkin, à ce sujet. Il vous l’expliquera et vous ajoutera, en outre, d’autres précisions. Vous en ferez de même pour les autres points et questions qui figurent dans votre lettre. Vous avez sûrement connaissance des études portant sur le ‘Houmach, les Tehilim et le Tanya. Tout au moins les adopterez-vous, à l’avenir. Avec ma bénédiction,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,