Lettre n° 6262
Par la grâce de D.ieu,
21 Iyar 5718,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav Moché, qui est appelé docteur Taub(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre dont l’acheminement a été prolongé, plus qu’à l’accoutumée. En un moment propice, je mentionnerai votre nom près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, en particulier pour que vous vous installiez convenablement, comme nous l’ordonne notre Torah, Torah de vie, avec joie et enthousiasme. Si chacun a besoin qu’il en soit ainsi, combien plus est-ce le cas pour un médecin, ayant la charge de guérir ceux qui s’adressent à lui. Or, la situation physique, au sens le plus littéral, dépend de l’état d’esprit et de son raffermissement. Il en résulte qu’un médecin doit être “ humide au point d’humecter les autres ”(2).
Chacun est tenu d’être joyeux, de renforcer sa confiance en D.ieu. Tous en reçoivent donc les moyens et les possibilités. En outre, la pratique concrète démontre qu’il en est effectivement ainsi. En effet, “ il n’est de vérité que la Torah ” et il est inconcevable que la Torah ordonne à l’homme ce qu’il ne peut pas réaliser. A quelqu’un comme vous, il est sûrement inutile d’en dire plus. Nous sommes dans les jours qui séparent Pessa’h, temps de notre liberté, délivrance de tout ce qui fait obstacle et oppresse, de Chavouot, temps du don de notre Torah, “ gravée sur les Tables ” et nos Sages disent : “ Ne lis pas ‘Harout, gravée, mais ‘Hérout, liberté ”. Puisse D.ieu faire que vous me donniez de bonnes nouvelles de ce qui vous concerne personnellement.
Notes
(1) De Rehovot. Voir, à son sujet, la lettre n°5796.
(2) Il doit être en mesure de renforcer le moral de ses patients.
21 Iyar 5718,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav Moché, qui est appelé docteur Taub(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre dont l’acheminement a été prolongé, plus qu’à l’accoutumée. En un moment propice, je mentionnerai votre nom près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, en particulier pour que vous vous installiez convenablement, comme nous l’ordonne notre Torah, Torah de vie, avec joie et enthousiasme. Si chacun a besoin qu’il en soit ainsi, combien plus est-ce le cas pour un médecin, ayant la charge de guérir ceux qui s’adressent à lui. Or, la situation physique, au sens le plus littéral, dépend de l’état d’esprit et de son raffermissement. Il en résulte qu’un médecin doit être “ humide au point d’humecter les autres ”(2).
Chacun est tenu d’être joyeux, de renforcer sa confiance en D.ieu. Tous en reçoivent donc les moyens et les possibilités. En outre, la pratique concrète démontre qu’il en est effectivement ainsi. En effet, “ il n’est de vérité que la Torah ” et il est inconcevable que la Torah ordonne à l’homme ce qu’il ne peut pas réaliser. A quelqu’un comme vous, il est sûrement inutile d’en dire plus. Nous sommes dans les jours qui séparent Pessa’h, temps de notre liberté, délivrance de tout ce qui fait obstacle et oppresse, de Chavouot, temps du don de notre Torah, “ gravée sur les Tables ” et nos Sages disent : “ Ne lis pas ‘Harout, gravée, mais ‘Hérout, liberté ”. Puisse D.ieu faire que vous me donniez de bonnes nouvelles de ce qui vous concerne personnellement.
Notes
(1) De Rehovot. Voir, à son sujet, la lettre n°5796.
(2) Il doit être en mesure de renforcer le moral de ses patients.