Lettre n° 6267
Par la grâce de D.ieu,
23 Iyar 5718,
Brooklyn,
Au Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav Pin’has Leïbish Herzl(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre du 16 Iyar, dans laquelle vous me décrivez brièvement les réunions ‘hassidiques des mois passés. Puisse D.ieu faire que chacun multiplie les actions positives qui sont menées pour diffuser le Judaïsme, en général, les sources de la ‘Hassidout, en particulier.
Bien plus(2), il est dit : “ Quelle pratique accomplit-on le plus scrupuleusement ? ” et l’Admour Hazaken explique, à ce propos, dans Iguéret Ha Kodech, à la fin du chapitre 7, que l’on doit être scrupuleux, Zahir ou bien, selon mon beau-père, le Rabbi, briller par cette Mitsva(3). Très souvent, on peut déterminer quelle est cette pratique, que l’on doit respecter plus scrupuleusement. Or, de nombreux ‘Hassidim ont pu constater que, pour ce qui les concerne, il s’agissait de l’éducation des enfants basée sur les valeurs sacrées, au sein d’une école fondée par mon beau-père, le Rabbi ou par son père, le Rabbi Rachab, dont le mérite nous protégera.
Il est donc bien évident, comme le dit ce passage d’Iguéret Ha Kodech que l’on doit investir en la matière, sa priorité, son scrupule et son plus grand empressement, avec une ardeur redoublée et intense, bien au-delà de toutes les autres Mitsvot. Si l’on médite au soin apporté pour mettre en pratique les autres Mitsvot, comme l’explique Iguéret Ha Kodech, au chapitre 21, on peut en déduire comment l’on doit donner la priorité à ce domaine, d’après tous les qualificatifs employés à ce sujet. Il ne fait donc pas de doute que vous intensifierez largement votre action et ce que vous réalisez au sein de la Yechiva Torat Emet. Comme le soulignent différents textes, il nous a été enjoint d’agir ainsi et il est donc certain que nous disposons des moyens et des forces nécessaires pour cela. Tout dépend de votre désir de mettre ce potentiel à profit.
Puisse D.ieu faire que vous guidiez vos amis vers l’accomplissement de cette mission sacrée, afin qu’ils aient également une réflexion sincère en ce sens. De la sorte, cette sainte institution se développera et elle grandira, quantitativement et qualitativement, avec une considérable réussite. De façon générale, la réussite transcende les voies de la nature, comme l’explique le Torah Or, à la fin de la Parchat Vayéchev. Néanmoins, il est dit que la révélation céleste, même si elle vient d’en haut, n’en dépend pas moins, pour une large part, de l’effort des hommes. Or, il en est de même également pour ce qui concerne la réussite. Puisse D.ieu faire que vous me donniez bientôt de bonnes nouvelles, d’un bien véritable, de tout ce qui vient d’être dit. Avec ma bénédiction pour donner ces bonnes nouvelles,
Notes
(1) De Jérusalem. Voir, à son sujet, la lettre n°5124.
(2) Une lettre identique, à partir de ce paragraphe, fut adressée à plusieurs autres personnes.
(3) Zohar, éclat, étant de la même étymologie que Zahir.
23 Iyar 5718,
Brooklyn,
Au Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu
et se consacre aux besoins communautaires,
le Rav Pin’has Leïbish Herzl(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre du 16 Iyar, dans laquelle vous me décrivez brièvement les réunions ‘hassidiques des mois passés. Puisse D.ieu faire que chacun multiplie les actions positives qui sont menées pour diffuser le Judaïsme, en général, les sources de la ‘Hassidout, en particulier.
Bien plus(2), il est dit : “ Quelle pratique accomplit-on le plus scrupuleusement ? ” et l’Admour Hazaken explique, à ce propos, dans Iguéret Ha Kodech, à la fin du chapitre 7, que l’on doit être scrupuleux, Zahir ou bien, selon mon beau-père, le Rabbi, briller par cette Mitsva(3). Très souvent, on peut déterminer quelle est cette pratique, que l’on doit respecter plus scrupuleusement. Or, de nombreux ‘Hassidim ont pu constater que, pour ce qui les concerne, il s’agissait de l’éducation des enfants basée sur les valeurs sacrées, au sein d’une école fondée par mon beau-père, le Rabbi ou par son père, le Rabbi Rachab, dont le mérite nous protégera.
Il est donc bien évident, comme le dit ce passage d’Iguéret Ha Kodech que l’on doit investir en la matière, sa priorité, son scrupule et son plus grand empressement, avec une ardeur redoublée et intense, bien au-delà de toutes les autres Mitsvot. Si l’on médite au soin apporté pour mettre en pratique les autres Mitsvot, comme l’explique Iguéret Ha Kodech, au chapitre 21, on peut en déduire comment l’on doit donner la priorité à ce domaine, d’après tous les qualificatifs employés à ce sujet. Il ne fait donc pas de doute que vous intensifierez largement votre action et ce que vous réalisez au sein de la Yechiva Torat Emet. Comme le soulignent différents textes, il nous a été enjoint d’agir ainsi et il est donc certain que nous disposons des moyens et des forces nécessaires pour cela. Tout dépend de votre désir de mettre ce potentiel à profit.
Puisse D.ieu faire que vous guidiez vos amis vers l’accomplissement de cette mission sacrée, afin qu’ils aient également une réflexion sincère en ce sens. De la sorte, cette sainte institution se développera et elle grandira, quantitativement et qualitativement, avec une considérable réussite. De façon générale, la réussite transcende les voies de la nature, comme l’explique le Torah Or, à la fin de la Parchat Vayéchev. Néanmoins, il est dit que la révélation céleste, même si elle vient d’en haut, n’en dépend pas moins, pour une large part, de l’effort des hommes. Or, il en est de même également pour ce qui concerne la réussite. Puisse D.ieu faire que vous me donniez bientôt de bonnes nouvelles, d’un bien véritable, de tout ce qui vient d’être dit. Avec ma bénédiction pour donner ces bonnes nouvelles,
Notes
(1) De Jérusalem. Voir, à son sujet, la lettre n°5124.
(2) Une lettre identique, à partir de ce paragraphe, fut adressée à plusieurs autres personnes.
(3) Zohar, éclat, étant de la même étymologie que Zahir.