Lettre n° 6272
Par la grâce de D.ieu,
25 Iyar 5718,
Brooklyn,
Au grand Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav David(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre de ce mercredi, dans laquelle vous abordez une question qui a été largement débattue, celle du temps de l’issue du Chabbat. Vous concluez en citant le Choul’han Arou’h, chapitre 293, au paragraphe 1 selon lequel, semble-t-il, il faudrait attendre soixante douze minutes(2). L’Admour Hazaken, auteur du Tanya et Décisionnaire de la partie cachée de la Torah, auteur du Choul’han Arou’h et Décisionnaire de la partie révélée de la Torah, souligne que ce temps n’est pas le même selon la période de l’année dans laquelle on se trouve et l’endroit où l’on est. Vous consulterez son “ ordre de l’entrée du Chabbat ”, qui est imprimé dans son Sidour. Aussi, en chaque endroit, il faut déterminer le calcul correspondant(3) à sa latitude. En outre, une différence doit être faite en fonction de la période dans l’année.
La pratique que j’ai observée ici, à New York, consiste à attendre une cinquantaine de minutes après le coucher du soleil. Bien entendu, je n’en prends pas la responsabilité. De façon générale, il est bon, comme vous le savez, de retarder la sortie du Chabbat. Néanmoins, à la synagogue, il faut le faire de telle manière que les présents puissent le supporter(4). Bien entendu, il s’agit là d’une meilleure façon de pratiquer et non d’une interdiction hala’hique. Et, “ grand est le Chabbat qui est considéré comme l’ensemble des Mitsvot ”. Avec mes respects, ma bénédiction de bonne santé et pour donner de bonnes nouvelles de vos préoccupations communautaires comme de ce qui vous concerne personnellement, l’un et l’autre étant liés,
Notes
(1) Le Rav D. Winchester, de Chicago. Voir, à son sujet, la lettre n°6035.
(2) Après le coucher du soleil pour que la nuit tombe.
(3) Voir le Kountrass Ha Néchek, tome 2, notes 7 et 14.
(4) Certains étant pressés de partir.
25 Iyar 5718,
Brooklyn,
Au grand Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav David(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre de ce mercredi, dans laquelle vous abordez une question qui a été largement débattue, celle du temps de l’issue du Chabbat. Vous concluez en citant le Choul’han Arou’h, chapitre 293, au paragraphe 1 selon lequel, semble-t-il, il faudrait attendre soixante douze minutes(2). L’Admour Hazaken, auteur du Tanya et Décisionnaire de la partie cachée de la Torah, auteur du Choul’han Arou’h et Décisionnaire de la partie révélée de la Torah, souligne que ce temps n’est pas le même selon la période de l’année dans laquelle on se trouve et l’endroit où l’on est. Vous consulterez son “ ordre de l’entrée du Chabbat ”, qui est imprimé dans son Sidour. Aussi, en chaque endroit, il faut déterminer le calcul correspondant(3) à sa latitude. En outre, une différence doit être faite en fonction de la période dans l’année.
La pratique que j’ai observée ici, à New York, consiste à attendre une cinquantaine de minutes après le coucher du soleil. Bien entendu, je n’en prends pas la responsabilité. De façon générale, il est bon, comme vous le savez, de retarder la sortie du Chabbat. Néanmoins, à la synagogue, il faut le faire de telle manière que les présents puissent le supporter(4). Bien entendu, il s’agit là d’une meilleure façon de pratiquer et non d’une interdiction hala’hique. Et, “ grand est le Chabbat qui est considéré comme l’ensemble des Mitsvot ”. Avec mes respects, ma bénédiction de bonne santé et pour donner de bonnes nouvelles de vos préoccupations communautaires comme de ce qui vous concerne personnellement, l’un et l’autre étant liés,
Notes
(1) Le Rav D. Winchester, de Chicago. Voir, à son sujet, la lettre n°6035.
(2) Après le coucher du soleil pour que la nuit tombe.
(3) Voir le Kountrass Ha Néchek, tome 2, notes 7 et 14.
(4) Certains étant pressés de partir.