Lettre n° 6309
Par la grâce de D.ieu,
11 Sivan 5718,
Brooklyn,
A l’attention de monsieur Its’hak(1),
Je vous salue et vous bénis,
Vous m’avez fait savoir que votre fille a eu un fils, avec Mazal Tov et que celui-ci s’appelle Né’hémya. Voici ma réponse. Puisse D.ieu faire que ses parents l’éduquent, le conduisent à la Torah, au dais nuptial, aux bonnes actions, qu’ils l’élèvent dans la largesse et conçoivent de lui beaucoup de satisfaction véritable. En effet, vous êtes soutenu par le mérite de ce qui est public, par les personnes dont vous rapprochez le cœur de notre Père Qui se trouve dans les cieux et, à n’en pas douter, également de la Torah et des Mitsvot. Je vous adresse ma bénédiction de Mazal Tov, de même que pour donner de bonnes nouvelles de votre fils et des membres de sa famille ce qui, bien entendu, vous inclut vous-même.
J’ai été satisfait par votre décision, puisque vous avez souhaité maintenir le contact avec tous ceux que vous citez dans votre lettre, mais, pour autant, vous désirez leur délivrer un enseignement clair, sans rien leur cacher(2). J’ai dit, à ce propos, lors d’une réunion ‘hassidique, que l’expression “ Torah intègre ” ne doit pas être départie de son sens simple. Si l’on remet en cause cette intégrité, il ne s’agit plus du tout de Torah mais, tout au plus, d’une perception et d’une sagesse profondes. Car, la Torah est un enseignement, une Injonction ayant un caractère impératif. Elle n’a pas seulement pour but de dire que si l’on ne désire pas tel point, on peut rejeter tel autre, qui en est la cause.
Notes
(1) I. Damyel, de Ramat Gan. Voir, à son sujet, la lettre n°5970.
(2) Sans faire d’arrangement avec la Hala’ha.
11 Sivan 5718,
Brooklyn,
A l’attention de monsieur Its’hak(1),
Je vous salue et vous bénis,
Vous m’avez fait savoir que votre fille a eu un fils, avec Mazal Tov et que celui-ci s’appelle Né’hémya. Voici ma réponse. Puisse D.ieu faire que ses parents l’éduquent, le conduisent à la Torah, au dais nuptial, aux bonnes actions, qu’ils l’élèvent dans la largesse et conçoivent de lui beaucoup de satisfaction véritable. En effet, vous êtes soutenu par le mérite de ce qui est public, par les personnes dont vous rapprochez le cœur de notre Père Qui se trouve dans les cieux et, à n’en pas douter, également de la Torah et des Mitsvot. Je vous adresse ma bénédiction de Mazal Tov, de même que pour donner de bonnes nouvelles de votre fils et des membres de sa famille ce qui, bien entendu, vous inclut vous-même.
J’ai été satisfait par votre décision, puisque vous avez souhaité maintenir le contact avec tous ceux que vous citez dans votre lettre, mais, pour autant, vous désirez leur délivrer un enseignement clair, sans rien leur cacher(2). J’ai dit, à ce propos, lors d’une réunion ‘hassidique, que l’expression “ Torah intègre ” ne doit pas être départie de son sens simple. Si l’on remet en cause cette intégrité, il ne s’agit plus du tout de Torah mais, tout au plus, d’une perception et d’une sagesse profondes. Car, la Torah est un enseignement, une Injonction ayant un caractère impératif. Elle n’a pas seulement pour but de dire que si l’on ne désire pas tel point, on peut rejeter tel autre, qui en est la cause.
Notes
(1) I. Damyel, de Ramat Gan. Voir, à son sujet, la lettre n°5970.
(2) Sans faire d’arrangement avec la Hala’ha.