Lettre n° 6376
Par la grâce de D.ieu,
8 Tamouz 5718,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu, en son temps, votre lettre, dans laquelle vous me décrivez, par le détail, votre situation telle que vous la voyez. Vous avez tout à fait raison d’écrire, au début de votre lettre, qu’il s’agit d’un prétexte, d’une justification et qu’on vous a dit que, même si cela était exact, votre étude de la Torah n’en serait pas renforcée. Et, rien ne résiste à la volonté.
Vous précisez ce qui est à l’origine de votre découragement. Mais, l’explication de tout cela a déjà été donnée par le Tanya, qui commente l’affirmation selon laquelle “ les pleurs sont d’un côté et la joie, de l’autre ”, soulignant qu’il n’y a aucune contradiction dans une telle situation et qu’avant tout, cette connaissance n’est qu’un moyen d’atteindre la finalité de l’étude de la Torah et de la pratique des Mitsvot. Le moyen d’y parvenir, le chemin de vérité sur lequel vous vous interrogez, consiste à graver en son cerveau et en sa mémoire les paroles de l’Admour Hazaken, au début du chapitre 41 du Tanya : “ D.ieu se tient face à lui… ”. Il serait bon d’apprendre par cœur le début de ce chapitre jusqu’au mot Ha Méle’h, le Roi, qui est à la page suivante. La conscience de cela doit inspirer la joie dans le cœur de chacun. En effet, le Tanya cite l’exemple d’un grand roi qui habite chez l’homme le plus humble et le plus modeste, comme il le précise, au chapitre 33. Bien entendu, grâce à cette résidence commune, on reçoit la force d’avoir un comportement conforme à la volonté du roi. Le Choul’han Arou’h explique tout cela, jusque dans le moindre détail, y compris dans les domaines permis, consacrant un chapitre entier à ce propos, dans le Ora’h ‘Haïm, au chapitre 231, conformément au principe : “ En toutes tes voies, reconnais-Le ”.
Puisse D.ieu faire que vous cessiez de penser au comportement que telle personne adopte envers vous. Sachez que vous vous trouvez dans un rayon de lumière, à la Yechiva Tom’heï Temimim, que vous y trouvez une Torah intègre, sa partie révélée et son enseignement profond. Si vous le désirez réellement, vous avez la certitude de connaître la réussite dans les trois domaines que sont la Torah, la prière et les bonnes actions, sur lesquelles reposent le monde, au sens littéral et le petit monde, qui est l’homme. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,
8 Tamouz 5718,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu, en son temps, votre lettre, dans laquelle vous me décrivez, par le détail, votre situation telle que vous la voyez. Vous avez tout à fait raison d’écrire, au début de votre lettre, qu’il s’agit d’un prétexte, d’une justification et qu’on vous a dit que, même si cela était exact, votre étude de la Torah n’en serait pas renforcée. Et, rien ne résiste à la volonté.
Vous précisez ce qui est à l’origine de votre découragement. Mais, l’explication de tout cela a déjà été donnée par le Tanya, qui commente l’affirmation selon laquelle “ les pleurs sont d’un côté et la joie, de l’autre ”, soulignant qu’il n’y a aucune contradiction dans une telle situation et qu’avant tout, cette connaissance n’est qu’un moyen d’atteindre la finalité de l’étude de la Torah et de la pratique des Mitsvot. Le moyen d’y parvenir, le chemin de vérité sur lequel vous vous interrogez, consiste à graver en son cerveau et en sa mémoire les paroles de l’Admour Hazaken, au début du chapitre 41 du Tanya : “ D.ieu se tient face à lui… ”. Il serait bon d’apprendre par cœur le début de ce chapitre jusqu’au mot Ha Méle’h, le Roi, qui est à la page suivante. La conscience de cela doit inspirer la joie dans le cœur de chacun. En effet, le Tanya cite l’exemple d’un grand roi qui habite chez l’homme le plus humble et le plus modeste, comme il le précise, au chapitre 33. Bien entendu, grâce à cette résidence commune, on reçoit la force d’avoir un comportement conforme à la volonté du roi. Le Choul’han Arou’h explique tout cela, jusque dans le moindre détail, y compris dans les domaines permis, consacrant un chapitre entier à ce propos, dans le Ora’h ‘Haïm, au chapitre 231, conformément au principe : “ En toutes tes voies, reconnais-Le ”.
Puisse D.ieu faire que vous cessiez de penser au comportement que telle personne adopte envers vous. Sachez que vous vous trouvez dans un rayon de lumière, à la Yechiva Tom’heï Temimim, que vous y trouvez une Torah intègre, sa partie révélée et son enseignement profond. Si vous le désirez réellement, vous avez la certitude de connaître la réussite dans les trois domaines que sont la Torah, la prière et les bonnes actions, sur lesquelles reposent le monde, au sens littéral et le petit monde, qui est l’homme. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,