Lettre n° 6395
Par la grâce de D.ieu,
15 Tamouz 5718,
Brooklyn,
Au grand Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
aux multiples accomplissements, empli d’empressement,
le Rav Dov Zeev(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre de Roch ‘Hodech Tamouz, à laquelle était jointe une copie du contrat(2), en un moment bon et fructueux, pour la diffusion, dans votre ville, du Judaïsme dans l’esprit de la Tradition d’Israël, en y créant une sainte Yechiva, dans laquelle on étudiera la Torah intègre.
Puisse D.ieu faire que le début de tout cela soit en un moment bon et fructueux, d’un bien visible et tangible, ce qui veut dire qu’il y aura de moins en moins de difficultés et d’obstacles pour le développement d’un projet aussi important. Cette sainte institution se renforcera quantitativement, par le nombre de ceux qui y feront leurs études et qualitativement, par le niveau de ces études. De fait, on confère un mérite aux jours propices et votre lettre m’est parvenue dans les jours proches des 12 et 13 Tamouz, dates de la libération de notre maître et chef, le chef d’Israël, mon beau-père, le Rabbi. Or, “ le corps suit la tête ”. Avec mes respects et ma bénédiction de réussite en tout ce qui vient d’être dit, pour vous et pour tous ceux qui participent avec vous à ce projet de la plus haute importance,
Notes
(1) le Rav D. Z. Steinhauz, de Copenhague.
(2) Précisant, vraisemblablement, les responsabilités qui incombent à chacun.
15 Tamouz 5718,
Brooklyn,
Au grand Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
aux multiples accomplissements, empli d’empressement,
le Rav Dov Zeev(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre de Roch ‘Hodech Tamouz, à laquelle était jointe une copie du contrat(2), en un moment bon et fructueux, pour la diffusion, dans votre ville, du Judaïsme dans l’esprit de la Tradition d’Israël, en y créant une sainte Yechiva, dans laquelle on étudiera la Torah intègre.
Puisse D.ieu faire que le début de tout cela soit en un moment bon et fructueux, d’un bien visible et tangible, ce qui veut dire qu’il y aura de moins en moins de difficultés et d’obstacles pour le développement d’un projet aussi important. Cette sainte institution se renforcera quantitativement, par le nombre de ceux qui y feront leurs études et qualitativement, par le niveau de ces études. De fait, on confère un mérite aux jours propices et votre lettre m’est parvenue dans les jours proches des 12 et 13 Tamouz, dates de la libération de notre maître et chef, le chef d’Israël, mon beau-père, le Rabbi. Or, “ le corps suit la tête ”. Avec mes respects et ma bénédiction de réussite en tout ce qui vient d’être dit, pour vous et pour tous ceux qui participent avec vous à ce projet de la plus haute importance,
Notes
(1) le Rav D. Z. Steinhauz, de Copenhague.
(2) Précisant, vraisemblablement, les responsabilités qui incombent à chacun.