Lettre n° 6397
Par la grâce de D.ieu,
15 Tamouz 5718,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 11 Tamouz, dans laquelle vous me décrivez votre situation, les dettes que vous avez contractées pour obtenir l’appartement que vous avez acquis il y a quelques temps. Et, vous ne savez pas comment vous libérer de cet étau. Vous envisagez donc de vendre cet appartement et d’en acheter un plus petit. Or, comme vous le faites remarquer vous-même, il en résultera une perte significative. En outre, la pratique concrète a montré que l’on ne se libère pas de ses dettes de cette façon. Autre point, qui est essentiel, lorsque l’on réside dans un endroit depuis un certain temps, comme c’est le cas en l’occurrence, l’emménagement dans une maison plus petite suscite le découragement, comme on peut le déduire de l’effet positif, en la matière(1) et nos Sages citent les trois éléments qui confèrent à l’homme la largesse d’esprit(2).
En conséquence, il faudrait s’efforcer d’obtenir un prêt pour un plus long délai, avec des conditions de remboursement plus favorables. De la sorte, peu à peu, vous vous préserverez de l’étroitesse extérieure et de tous les éléments superficiels, sans remettre en cause votre demeure intérieure et la largesse d’esprit qui en découle, comme on l’a dit. Puisse D.ieu faire que vous investissiez vos efforts, avec tout l’empressement nécessaire, en les trois éléments cités par nos Sages, dans leur dimension spirituelle, exposée par les Tikouneï Zohar, au Tikoun 6, page 22b, qui dit que la “ maison agréable ” est le cœur, les “ affaires agréables ” les membres du corps et “ l’épouse agréable ” l’âme. Vous consulterez donc ce texte. Et, c’est de cette façon que vous parviendrez à une véritable largesse d’esprit.
J’espère que vous avez un temps fixé pour étudier l’enseignement profond de la Torah qui, à notre époque, a été révélé par les commentaires de la ‘Hassidout. Bien plus, la nécessité de cette étude est établie par Iguéret Ha Kodech, au chapitre 26, de l’Admour Hazaken, auteur du Tanya et Décisionnaire de l’enseignement caché de la Torah, auteur du Choul’han Arou’h et Décisionnaire de la partie révélée de la Torah ou, plus précisément encore, par le petit-fils de son petit-fils, qui fut aussi son successeur, le Rabbi Rachab, dans son Kountrass Ets ‘Haïm. Tous leurs saints propos sont basés sur les explications de Rabbi ‘Haïm Vital, dans son introduction au Chaar Ha Hakdamot, reproduisant également ce que dit le saint Zohar, en la matière. Vous avez sûrement connaissance des trois études fixées, qui portent sur le ‘Houmach, les Tehilim et le Tanya. Comme nous l’avons maintes fois entendu de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, celles-ci concernent chacun et elles ont un effet favorable, dans différents domaines. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,
Pour le Rabbi Chlita,
Notes
(1) De la satisfaction générée par l’emménagement dans une maison plus grande.
(2) L’une des trois étant une belle maison, ainsi qu’il est dit, au traité Bera’hot 57b : “ Trois éléments confèrent la largesse d’esprit à l’homme, une maison agréable, une épouse agréable et des affaires agréables ”.
15 Tamouz 5718,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 11 Tamouz, dans laquelle vous me décrivez votre situation, les dettes que vous avez contractées pour obtenir l’appartement que vous avez acquis il y a quelques temps. Et, vous ne savez pas comment vous libérer de cet étau. Vous envisagez donc de vendre cet appartement et d’en acheter un plus petit. Or, comme vous le faites remarquer vous-même, il en résultera une perte significative. En outre, la pratique concrète a montré que l’on ne se libère pas de ses dettes de cette façon. Autre point, qui est essentiel, lorsque l’on réside dans un endroit depuis un certain temps, comme c’est le cas en l’occurrence, l’emménagement dans une maison plus petite suscite le découragement, comme on peut le déduire de l’effet positif, en la matière(1) et nos Sages citent les trois éléments qui confèrent à l’homme la largesse d’esprit(2).
En conséquence, il faudrait s’efforcer d’obtenir un prêt pour un plus long délai, avec des conditions de remboursement plus favorables. De la sorte, peu à peu, vous vous préserverez de l’étroitesse extérieure et de tous les éléments superficiels, sans remettre en cause votre demeure intérieure et la largesse d’esprit qui en découle, comme on l’a dit. Puisse D.ieu faire que vous investissiez vos efforts, avec tout l’empressement nécessaire, en les trois éléments cités par nos Sages, dans leur dimension spirituelle, exposée par les Tikouneï Zohar, au Tikoun 6, page 22b, qui dit que la “ maison agréable ” est le cœur, les “ affaires agréables ” les membres du corps et “ l’épouse agréable ” l’âme. Vous consulterez donc ce texte. Et, c’est de cette façon que vous parviendrez à une véritable largesse d’esprit.
J’espère que vous avez un temps fixé pour étudier l’enseignement profond de la Torah qui, à notre époque, a été révélé par les commentaires de la ‘Hassidout. Bien plus, la nécessité de cette étude est établie par Iguéret Ha Kodech, au chapitre 26, de l’Admour Hazaken, auteur du Tanya et Décisionnaire de l’enseignement caché de la Torah, auteur du Choul’han Arou’h et Décisionnaire de la partie révélée de la Torah ou, plus précisément encore, par le petit-fils de son petit-fils, qui fut aussi son successeur, le Rabbi Rachab, dans son Kountrass Ets ‘Haïm. Tous leurs saints propos sont basés sur les explications de Rabbi ‘Haïm Vital, dans son introduction au Chaar Ha Hakdamot, reproduisant également ce que dit le saint Zohar, en la matière. Vous avez sûrement connaissance des trois études fixées, qui portent sur le ‘Houmach, les Tehilim et le Tanya. Comme nous l’avons maintes fois entendu de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, celles-ci concernent chacun et elles ont un effet favorable, dans différents domaines. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,
Pour le Rabbi Chlita,
Notes
(1) De la satisfaction générée par l’emménagement dans une maison plus grande.
(2) L’une des trois étant une belle maison, ainsi qu’il est dit, au traité Bera’hot 57b : “ Trois éléments confèrent la largesse d’esprit à l’homme, une maison agréable, une épouse agréable et des affaires agréables ”.