Lettre n° 6406
Par la grâce de D.ieu,
19 Tamouz 5718,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 12 Tamouz, date de la libération de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, chef d’Israël. Vous m’accusez réception de mon courrier et vous me donnez plus de détails, concernant votre fils et votre famille. En un moment propice, je mentionnerai votre nom près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, conformément à ce que vous m’écrivez. Je vous ai écrit que, pour réparer le passé(1), vous pouvez exercer une influence positive sur vos petits-enfants. Bien entendu, il s’agit là du point le plus important, mais vous ne devez pas vous contenter de cela. Conformément à l’Injonction : “ Tu aimeras ton prochain comme toi-même ”, vous devez aussi venir en aide à tous ceux qui mènent une action, dans toute la mesure du possible et, plus généralement, faire en sorte que cette notion de pureté familiale se répande dans les milieux les plus larges.
Vous connaissez la force de la réparation et de la Techouva. Non seulement la punition, ce qu’à D.ieu ne plaise, est ainsi écartée, mais l’on connaît, en outre, un succès accru et vous connaissez l’explication de nos maîtres selon laquelle ceux qui accèdent à la Techouva sont plus grands que les Justes parfaits(2). J’espère que vous respectez l’usage quotidien consistant à lire des Tehilim, selon leur répartition mensuelle, chaque matin, après la prière. Vous direz également le Psaume correspondant à votre âge. Ainsi, après la Bar Mitsva, on commence à lire, chaque jour après la prière, le Psaume 14, puis, l’année suivante, on lit le Psaume suivant et ainsi de suite.
Je vous adresse ma bénédiction afin de donner de bonnes nouvelles de tout cela et de votre participation à la réunion ‘hassidique du 12 Tamouz, qui a sûrement eu lieu dans votre ville. Puisse D.ieu faire qu’il y ait là une entrée en matière pour d’autres bonnes nouvelles.
Notes
(1) Vraisemblablement, le non respect de la pureté familiale.
(2) Le traité Bera’hot 34b dit, en effet : “ Les Justes parfaits ne peuvent atteindre l’endroit où se tiennent ceux qui sont parvenus à la Techouva ”.
19 Tamouz 5718,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 12 Tamouz, date de la libération de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, chef d’Israël. Vous m’accusez réception de mon courrier et vous me donnez plus de détails, concernant votre fils et votre famille. En un moment propice, je mentionnerai votre nom près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, conformément à ce que vous m’écrivez. Je vous ai écrit que, pour réparer le passé(1), vous pouvez exercer une influence positive sur vos petits-enfants. Bien entendu, il s’agit là du point le plus important, mais vous ne devez pas vous contenter de cela. Conformément à l’Injonction : “ Tu aimeras ton prochain comme toi-même ”, vous devez aussi venir en aide à tous ceux qui mènent une action, dans toute la mesure du possible et, plus généralement, faire en sorte que cette notion de pureté familiale se répande dans les milieux les plus larges.
Vous connaissez la force de la réparation et de la Techouva. Non seulement la punition, ce qu’à D.ieu ne plaise, est ainsi écartée, mais l’on connaît, en outre, un succès accru et vous connaissez l’explication de nos maîtres selon laquelle ceux qui accèdent à la Techouva sont plus grands que les Justes parfaits(2). J’espère que vous respectez l’usage quotidien consistant à lire des Tehilim, selon leur répartition mensuelle, chaque matin, après la prière. Vous direz également le Psaume correspondant à votre âge. Ainsi, après la Bar Mitsva, on commence à lire, chaque jour après la prière, le Psaume 14, puis, l’année suivante, on lit le Psaume suivant et ainsi de suite.
Je vous adresse ma bénédiction afin de donner de bonnes nouvelles de tout cela et de votre participation à la réunion ‘hassidique du 12 Tamouz, qui a sûrement eu lieu dans votre ville. Puisse D.ieu faire qu’il y ait là une entrée en matière pour d’autres bonnes nouvelles.
Notes
(1) Vraisemblablement, le non respect de la pureté familiale.
(2) Le traité Bera’hot 34b dit, en effet : “ Les Justes parfaits ne peuvent atteindre l’endroit où se tiennent ceux qui sont parvenus à la Techouva ”.