Lettre n° 6410
Par la grâce de D.ieu,
19 Tamouz 5718,
Brooklyn,
Au grand Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu, aux
multiples connaissances, le Rav Duberish(1),
Je vous salue et vous bénis,
Après une interruption particulièrement longue, j’ai reçu votre lettre du 15 Tamouz et, en un moment propice, je mentionnerai tous ceux que vous citez près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, afin que chacun obtienne la satisfaction de ses besoins, conformément à ce que vous écrivez et que soient satisfaits également vos propres besoins et ceux des membres de votre famille.
Nous avons vécu les jours propices de la libération, les 12 et 13 Tamouz, délivrance de notre maître et de notre chef, tête d’Israël. Et, “ le corps suit la tête ”. Que chacun d’entre nous, au sein de tout Israël, soit donc libéré de tout ce qui lui fait obstacle, matériellement et spirituellement et que l’on puisse servir D.ieu avec joie et enthousiasme(2). Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles,
Je vous remercie pour votre remarque sur les responsa du Tséma’h Tsédek, partie Yoré Déa, chapitre 201, constatant que, d’après ce texte, la circoncision de celui qui a le prépuce étiré est uniquement introduite par les Sages. C’est aussi le cas lorsque la membrane est attachée, à l’inverse de ce que dit le Meïri, au traité Yebamot 70a. A ce propos, vous noterez que le Tséma’h Tsédek lui-même, dans une première conclusion, émet un doute à ce propos, comme l’indiquent ses responsa, à la porte des additifs, chapitre 37 et la porte des additifs aux responsa Chéérit Yehouda, au chapitre 13, paru aux éditions Kehot. Vous verrez également les responsa Chéérit Yehouda, à cette référence et les commentaires du Tséma’h Tsédek sur le traité Chabbat, chapitre 19, Michna 2, de même que le Ot ‘Haïm Ve Chalom de l’auteur du Min’hat Eléazar, partie Yoré Déa, fin du chapitre 264.
Notes
(1) Le Rav D. Shuckerman, de Buffalo. Voir, à son sujet, la lettre n°2030.
(2) Voir la lettre n°6408.
19 Tamouz 5718,
Brooklyn,
Au grand Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu, aux
multiples connaissances, le Rav Duberish(1),
Je vous salue et vous bénis,
Après une interruption particulièrement longue, j’ai reçu votre lettre du 15 Tamouz et, en un moment propice, je mentionnerai tous ceux que vous citez près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, afin que chacun obtienne la satisfaction de ses besoins, conformément à ce que vous écrivez et que soient satisfaits également vos propres besoins et ceux des membres de votre famille.
Nous avons vécu les jours propices de la libération, les 12 et 13 Tamouz, délivrance de notre maître et de notre chef, tête d’Israël. Et, “ le corps suit la tête ”. Que chacun d’entre nous, au sein de tout Israël, soit donc libéré de tout ce qui lui fait obstacle, matériellement et spirituellement et que l’on puisse servir D.ieu avec joie et enthousiasme(2). Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles,
Je vous remercie pour votre remarque sur les responsa du Tséma’h Tsédek, partie Yoré Déa, chapitre 201, constatant que, d’après ce texte, la circoncision de celui qui a le prépuce étiré est uniquement introduite par les Sages. C’est aussi le cas lorsque la membrane est attachée, à l’inverse de ce que dit le Meïri, au traité Yebamot 70a. A ce propos, vous noterez que le Tséma’h Tsédek lui-même, dans une première conclusion, émet un doute à ce propos, comme l’indiquent ses responsa, à la porte des additifs, chapitre 37 et la porte des additifs aux responsa Chéérit Yehouda, au chapitre 13, paru aux éditions Kehot. Vous verrez également les responsa Chéérit Yehouda, à cette référence et les commentaires du Tséma’h Tsédek sur le traité Chabbat, chapitre 19, Michna 2, de même que le Ot ‘Haïm Ve Chalom de l’auteur du Min’hat Eléazar, partie Yoré Déa, fin du chapitre 264.
Notes
(1) Le Rav D. Shuckerman, de Buffalo. Voir, à son sujet, la lettre n°2030.
(2) Voir la lettre n°6408.