Lettre n° 6435
Par la grâce de D.ieu,
5 Mena’hem Av 5718,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre, dans laquelle vous me parlez de votre fils. A mon sens, la raison véritable de cette situation est la suivante. Il est difficile d’être surveillé toute la journée, d’être astreint à une certaine organisation. Il semble, en effet, qu’à la maison, il ne subissait pas tout cela. Il faut donc obtenir, d’une manière agréable et pacifique, qu’il reste là-bas jusqu’au début de l’année scolaire. Bien entendu, plus longtemps il y restera et plus il sera aisé de s’habituer et de recevoir une influence durable, pour toute l’année, d’accepter la discipline et de se soumettre à l’ordre, non seulement pendant les heures d’école, mais aussi à la maison, ce qui est le plus important, pour un enfant.
Psychologiquement, il faudra aussi l’admettre, lui-même se rendra compte que la décision a été prise de le laisser là-bas. Il intégrera donc, en son esprit, l’idée qu’il doit y rester. A l’opposé, d’après ce que vous écrivez, il apparaît, selon vos conversations téléphoniques, qu’il espère encore être en mesure de se libérer du centre de vacances et de la discipline. Vous faites également référence à un traitement médical. Celui-ci est nouveau et il convient donc de prendre les plus grandes précautions, d’effectuer une vérification tous les quelques jours, en s’assurant, à chaque fois, que l’on ne laisse pas passer plus de quelques jours. Puisse D.ieu faire que vous m’annonciez de bonnes nouvelles de tout cela. Vous et votre épouse, en bonne santé et avec largesse d’esprit, vous concevrez une satisfaction véritable, c’est-à-dire une satisfaction ‘hassidique de vos enfants. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,
5 Mena’hem Av 5718,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre, dans laquelle vous me parlez de votre fils. A mon sens, la raison véritable de cette situation est la suivante. Il est difficile d’être surveillé toute la journée, d’être astreint à une certaine organisation. Il semble, en effet, qu’à la maison, il ne subissait pas tout cela. Il faut donc obtenir, d’une manière agréable et pacifique, qu’il reste là-bas jusqu’au début de l’année scolaire. Bien entendu, plus longtemps il y restera et plus il sera aisé de s’habituer et de recevoir une influence durable, pour toute l’année, d’accepter la discipline et de se soumettre à l’ordre, non seulement pendant les heures d’école, mais aussi à la maison, ce qui est le plus important, pour un enfant.
Psychologiquement, il faudra aussi l’admettre, lui-même se rendra compte que la décision a été prise de le laisser là-bas. Il intégrera donc, en son esprit, l’idée qu’il doit y rester. A l’opposé, d’après ce que vous écrivez, il apparaît, selon vos conversations téléphoniques, qu’il espère encore être en mesure de se libérer du centre de vacances et de la discipline. Vous faites également référence à un traitement médical. Celui-ci est nouveau et il convient donc de prendre les plus grandes précautions, d’effectuer une vérification tous les quelques jours, en s’assurant, à chaque fois, que l’on ne laisse pas passer plus de quelques jours. Puisse D.ieu faire que vous m’annonciez de bonnes nouvelles de tout cela. Vous et votre épouse, en bonne santé et avec largesse d’esprit, vous concevrez une satisfaction véritable, c’est-à-dire une satisfaction ‘hassidique de vos enfants. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,