Lettre n° 644
Par la grâce de D.ieu,
20 Tamouz 5710,
Au ‘Hassid qui craint D.ieu et s’acquitte fidèlement
de sa mission, le Rav...,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai été heureux de vous rencontrer, après une aussi longue interruption. Cette rencontre m’a été agréable, de différents points de vue. D’une part, je vous ai vu parmi les ‘Hassidim. C’était, en outre, l’anniversaire de la naissance de mon beau-père, le Rabbi et aussi le jour de sa libération(1), qui est également la nôtre. Plus encore, nous nous sommes retrouvés près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi, où se révèlent les plus hautes bénédictions.
J’ai également été satisfait de voir que vous conduisez des ‘Hassidim Cohanim(2) vers le tombeau. Il est clair qu’en recherchant le mérite des autres, vous acquerrez vous-même un grand mérite. Votre attachement à mon beau-père, le Rabbi, est le canal par lequel vous recevrez la bénédiction et la réussite.
J’émets le souhait qu’il ne se passe pas un jour sans que vous n’étudiez la partie révélée de la Torah et la ‘Hassidout. A mon avis, vous devriez vous engager, sans en faire le voeu, au moins jusqu’au premier anniversaire du décès, c'est-à-dire le 10 Chevat 5711, à lire chaque jour le Psaume 71(3) et, en outre, à étudier, chaque Chabbat et chaque jour de fête, un enseignement de mon beau-père, le Rabbi, ses discours, ses fascicules et ses causeries.
Le visage se reflète dans l’eau tel qu’il est réellement et, en vous attachant comme il convient à mon beau-père, le Rabbi, vous recevrez toutes ses bénédictions pour connaître la réussite matérielle et spirituelle.
Vous voudrez bien, à la meilleure occasion, saluer votre frère pour moi.
En vous souhaitant tout le bien,
Rav Mena’hem Schneerson,
Je vous joins le fascicule édité pour le jour de l’anniversaire de mon beau-père, le Rabbi et je vous adresse, par colis séparé, un Sefer Hasi’hot et un Séfer Hamaamarim.
Notes
(1) C'est-à-dire le 12 Tamouz.
(2) En participant à dresser une barrière entre ces Cohanim et les tombes.
(3) Qui correspond au nombre des années du précédent Rabbi. Voir, à ce propos, les lettres n°649, 650, 652, 657, 660, 667, 670, 688, 696, 716, 738, 747 et 748.
20 Tamouz 5710,
Au ‘Hassid qui craint D.ieu et s’acquitte fidèlement
de sa mission, le Rav...,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai été heureux de vous rencontrer, après une aussi longue interruption. Cette rencontre m’a été agréable, de différents points de vue. D’une part, je vous ai vu parmi les ‘Hassidim. C’était, en outre, l’anniversaire de la naissance de mon beau-père, le Rabbi et aussi le jour de sa libération(1), qui est également la nôtre. Plus encore, nous nous sommes retrouvés près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi, où se révèlent les plus hautes bénédictions.
J’ai également été satisfait de voir que vous conduisez des ‘Hassidim Cohanim(2) vers le tombeau. Il est clair qu’en recherchant le mérite des autres, vous acquerrez vous-même un grand mérite. Votre attachement à mon beau-père, le Rabbi, est le canal par lequel vous recevrez la bénédiction et la réussite.
J’émets le souhait qu’il ne se passe pas un jour sans que vous n’étudiez la partie révélée de la Torah et la ‘Hassidout. A mon avis, vous devriez vous engager, sans en faire le voeu, au moins jusqu’au premier anniversaire du décès, c'est-à-dire le 10 Chevat 5711, à lire chaque jour le Psaume 71(3) et, en outre, à étudier, chaque Chabbat et chaque jour de fête, un enseignement de mon beau-père, le Rabbi, ses discours, ses fascicules et ses causeries.
Le visage se reflète dans l’eau tel qu’il est réellement et, en vous attachant comme il convient à mon beau-père, le Rabbi, vous recevrez toutes ses bénédictions pour connaître la réussite matérielle et spirituelle.
Vous voudrez bien, à la meilleure occasion, saluer votre frère pour moi.
En vous souhaitant tout le bien,
Rav Mena’hem Schneerson,
Je vous joins le fascicule édité pour le jour de l’anniversaire de mon beau-père, le Rabbi et je vous adresse, par colis séparé, un Sefer Hasi’hot et un Séfer Hamaamarim.
Notes
(1) C'est-à-dire le 12 Tamouz.
(2) En participant à dresser une barrière entre ces Cohanim et les tombes.
(3) Qui correspond au nombre des années du précédent Rabbi. Voir, à ce propos, les lettres n°649, 650, 652, 657, 660, 667, 670, 688, 696, 716, 738, 747 et 748.