Lettre n° 6455
Par la grâce de D.ieu,
15 Mena’hem Av 5718,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 11 Mena’hem, m’empressant même de le faire. Vous dites que vous n’avez pas reçu de réponse à votre précédent courrier, peut-être parce que je ne suis pas satisfait de votre emploi du temps. Cela est tout à fait inexact et même surprenant, alors que je vous ai précisé que le retard de mes réponses était dû à mes nombreuses occupations. Mais, chacun peut interpréter les allusions et les allusions d’allusions de la manière la plus surprenante.
De façon générale, l’expression que vous employez, “ la difficulté de célébrer un mariage ”, n’a pas de sens, car ces deux points se contredisent. Un mariage doit être joyeux et la joie brise les limites, conduit à la largesse véritable, ce qui va à l’encontre de la difficulté. De même, il n’y a pas lieu de penser à la seconde moitié de Tichri. Je n’ai jamais vu que l’on célèbre un mariage en cette période. En un moment propice, je mentionnerai votre nom et celui des membres de votre famille en tous les points que vous citez. Puisse D.ieu faire que vous me donniez de bonnes nouvelles de tout cela et également de vos accomplissements communautaires, en un bien visible et tangible, d’une manière sans cesse accrue. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles,
15 Mena’hem Av 5718,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 11 Mena’hem, m’empressant même de le faire. Vous dites que vous n’avez pas reçu de réponse à votre précédent courrier, peut-être parce que je ne suis pas satisfait de votre emploi du temps. Cela est tout à fait inexact et même surprenant, alors que je vous ai précisé que le retard de mes réponses était dû à mes nombreuses occupations. Mais, chacun peut interpréter les allusions et les allusions d’allusions de la manière la plus surprenante.
De façon générale, l’expression que vous employez, “ la difficulté de célébrer un mariage ”, n’a pas de sens, car ces deux points se contredisent. Un mariage doit être joyeux et la joie brise les limites, conduit à la largesse véritable, ce qui va à l’encontre de la difficulté. De même, il n’y a pas lieu de penser à la seconde moitié de Tichri. Je n’ai jamais vu que l’on célèbre un mariage en cette période. En un moment propice, je mentionnerai votre nom et celui des membres de votre famille en tous les points que vous citez. Puisse D.ieu faire que vous me donniez de bonnes nouvelles de tout cela et également de vos accomplissements communautaires, en un bien visible et tangible, d’une manière sans cesse accrue. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles,