Lettre n° 6457

Par la grâce de D.ieu,
22 Mena’hem Av 5718,
Brooklyn, New York,

Au jeune homme, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav Barou’h Chmouel(1),

Je vous salue et vous bénis,

Vous m’interrogez sur une contradiction entre ce que dit le Hayom Yom, d’une part, le Sidour ou le Choul’han Arou’h, d’autre part. Bien entendu, il faut se baser sur ce qui est dit dans le Hayom Yom, qui a été rédigé ultérieurement.

S’agissant de la coutume ‘Habad concernant la lecture du Le Chem I’houd(2), vous consulterez le Chaar Ha Collel sur le Sidour, au chapitre 6. Néanmoins, il est dit, à cette référence, qu’il n’en est pas fait mention dans le Péri Ets ‘Haïm. Or, cette mention apparaît effectivement dans les errata, à la fin du premier tome. Vous consulterez aussi, à cette même référence, la porte des Zemirot, à la fin du chapitre 5, le Séfer Ha Likoutim, à la Parchat Reéh et la porte de l’inspiration divine, à la page 12b.

Notes

(1) Le Rav B. C. Hishrik, d’Akko.
(2) Formule dite, dans la coutume ‘Habad, une fois par jour, dans la prière du matin et, dans d’autres coutumes, avant l’accomplissement de chaque Mitsva.