Lettre n° 649
Par la grâce de D.ieu,
25 Tamouz 5710,
Au distingué ‘Hassid, qui craint D.ieu,
le Rav I.(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu, en son temps, votre lettre, avec votre demande de bénédiction. Comme vous le souhaitiez, je l’ai lue près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi, puis dans son bureau où il recevait et accordait des bénédictions.
Le Juste bénit et le Saint béni soit-Il exauce pleinement ses bénédictions, car il se trouve dans ce monde, plus que de son vivant.
J’espère(2) qu’il est inutile de préciser et d’éclaircir la nécessité de s’attacher au chef, mon beau-père, le Rabbi, en étudiant son enseignement et en adoptant les pratiques qu’il nous a enseignées.
Vous avez sans doute fixé un temps pour étudier son enseignement, exprimé dans ses discours, ses causeries, ses lettres. Il est bon que cette étude soit collective, afin que l’un vienne en aide à l’autre et le renforce.
Bien évidemment(3), ceci ne dispense nullement des études qui s’imposent à tous(4), en particulier celles, quotidiennes, qui concernent chacun, le ‘Houmach avec le commentaire de Rachi, les Tehilim selon leur répartition mensuelle et le Tanya, tel qu’il a été réparti, pour chaque jour de l’année, par mon beau-père, le Rabbi.
En vous souhaitant tout le bien,
M. Schneerson,
Vous avez sans doute reçu la réponse à votre télégramme.
* * *
Sans en faire le voeu, je ferai mention de vos noms et de celui de votre tante, dans le bureau et près du tombeau, pour la satisfaction de tous vos besoins, comme vous me le demandez dans votre lettre.
Vous lisez sûrement, chaque jour, sans en faire le voeu, le Psaume du Rabbi, qui est actuellement le Psaume 71. Vous le ferez au moins jusqu’au 10 Chevat 5711. Vous consulterez le paragraphe 11 de la causerie qui figure dans le fascicule édité pour le 12 Tamouz 5710.
En vous souhaitant tout le bien et avec mes voeux de Mazal Tov pour la circoncision de votre fils. Vous l’éduquerez, avec vos autres enfants, à la Torah, au dais nuptial et aux bonnes actions.
Notes
(1) Cette lettre fut adressée à plusieurs personnes, à des dates différentes. Voir, à ce propos, la lettre n°481.
(2) Voir les lettres n°624 et 706.
(3) Voir les lettres n°706 et 708.
(4) Celles-ci avaient été diffusées par le Hayom Yom. Voir les lettres n°561, 606, 608 et 627.
25 Tamouz 5710,
Au distingué ‘Hassid, qui craint D.ieu,
le Rav I.(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu, en son temps, votre lettre, avec votre demande de bénédiction. Comme vous le souhaitiez, je l’ai lue près du tombeau de mon beau-père, le Rabbi, puis dans son bureau où il recevait et accordait des bénédictions.
Le Juste bénit et le Saint béni soit-Il exauce pleinement ses bénédictions, car il se trouve dans ce monde, plus que de son vivant.
J’espère(2) qu’il est inutile de préciser et d’éclaircir la nécessité de s’attacher au chef, mon beau-père, le Rabbi, en étudiant son enseignement et en adoptant les pratiques qu’il nous a enseignées.
Vous avez sans doute fixé un temps pour étudier son enseignement, exprimé dans ses discours, ses causeries, ses lettres. Il est bon que cette étude soit collective, afin que l’un vienne en aide à l’autre et le renforce.
Bien évidemment(3), ceci ne dispense nullement des études qui s’imposent à tous(4), en particulier celles, quotidiennes, qui concernent chacun, le ‘Houmach avec le commentaire de Rachi, les Tehilim selon leur répartition mensuelle et le Tanya, tel qu’il a été réparti, pour chaque jour de l’année, par mon beau-père, le Rabbi.
En vous souhaitant tout le bien,
M. Schneerson,
Vous avez sans doute reçu la réponse à votre télégramme.
* * *
Sans en faire le voeu, je ferai mention de vos noms et de celui de votre tante, dans le bureau et près du tombeau, pour la satisfaction de tous vos besoins, comme vous me le demandez dans votre lettre.
Vous lisez sûrement, chaque jour, sans en faire le voeu, le Psaume du Rabbi, qui est actuellement le Psaume 71. Vous le ferez au moins jusqu’au 10 Chevat 5711. Vous consulterez le paragraphe 11 de la causerie qui figure dans le fascicule édité pour le 12 Tamouz 5710.
En vous souhaitant tout le bien et avec mes voeux de Mazal Tov pour la circoncision de votre fils. Vous l’éduquerez, avec vos autres enfants, à la Torah, au dais nuptial et aux bonnes actions.
Notes
(1) Cette lettre fut adressée à plusieurs personnes, à des dates différentes. Voir, à ce propos, la lettre n°481.
(2) Voir les lettres n°624 et 706.
(3) Voir les lettres n°706 et 708.
(4) Celles-ci avaient été diffusées par le Hayom Yom. Voir les lettres n°561, 606, 608 et 627.