Lettre n° 6513
Par la grâce de D.ieu,
7 Tichri 5719,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre de la veille de Roch Hachana. Il est sûrement inutile de vous souligner que toute pensée qui va à l’encontre de la joie et de l’enthousiasme n’émane pas du bon penchant, comme l’expliquent longuement différents textes, en particulier le saint Tanya, dont vous consulterez l’index figurant en fin d’ouvrage et les propos du Rambam, à la fin de ses lois du Loulav. Bien entendu, la Techouva peut elle-même être joyeuse et enthousiaste, comme le précisent ces textes. Il s’agit là d’un des aspects majeurs du service de D.ieu, qui n’est pas uniquement un moyen de mieux faire, mais aussi, selon l’expression du Rambam, “ un accomplissement important ”. Il est inutile d’en dire plus, tant cela est évident.
Je vous joins un chèque, qui est émis sur l’une des caisses de mon beau-père, le Rabbi, chef d’Israël. Vous consacrerez cet argent à l’une de vos activités ou, mieux encore, à deux d’entre elles. Et, D.ieu accomplira l’affirmation de nos Sages, énoncée au traité Baba Batra 15b, selon laquelle “ celui qui prend une pièce de Job s’enrichit ”, car il est : “ un homme intègre et droit ”, tout comme mon beau-père, le Rabbi, l’était lui-même. C’est une évidence. Votre demande de bénédiction sera lue près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. D.ieu fasse que, très prochainement, vous me donniez de bonnes nouvelles de tout cela, d’un bien visible et tangible, avant tout avec joie et enthousiasme. Avec ma bénédiction afin d’être définitivement scellé pour une bonne année,
7 Tichri 5719,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre de la veille de Roch Hachana. Il est sûrement inutile de vous souligner que toute pensée qui va à l’encontre de la joie et de l’enthousiasme n’émane pas du bon penchant, comme l’expliquent longuement différents textes, en particulier le saint Tanya, dont vous consulterez l’index figurant en fin d’ouvrage et les propos du Rambam, à la fin de ses lois du Loulav. Bien entendu, la Techouva peut elle-même être joyeuse et enthousiaste, comme le précisent ces textes. Il s’agit là d’un des aspects majeurs du service de D.ieu, qui n’est pas uniquement un moyen de mieux faire, mais aussi, selon l’expression du Rambam, “ un accomplissement important ”. Il est inutile d’en dire plus, tant cela est évident.
Je vous joins un chèque, qui est émis sur l’une des caisses de mon beau-père, le Rabbi, chef d’Israël. Vous consacrerez cet argent à l’une de vos activités ou, mieux encore, à deux d’entre elles. Et, D.ieu accomplira l’affirmation de nos Sages, énoncée au traité Baba Batra 15b, selon laquelle “ celui qui prend une pièce de Job s’enrichit ”, car il est : “ un homme intègre et droit ”, tout comme mon beau-père, le Rabbi, l’était lui-même. C’est une évidence. Votre demande de bénédiction sera lue près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. D.ieu fasse que, très prochainement, vous me donniez de bonnes nouvelles de tout cela, d’un bien visible et tangible, avant tout avec joie et enthousiasme. Avec ma bénédiction afin d’être définitivement scellé pour une bonne année,