Lettre n° 652
Par la grâce de D.ieu,
28 Tamouz 5710,
Au jeune homme, ...(1),
Je te salue et te bénis,
Ton père m’a écrit que tu es devenu Bar Mitsva, le 11 Tamouz et il sollicite ma bénédiction. Je t’exprime donc mes souhaits, conformes à ceux de mon beau-père, le Rabbi, pour que tu craignes D.ieu, sois un ‘Hassid et un érudit de la Torah, que tes parents conçoivent beaucoup de satisfaction, une satisfaction ‘hassidique, de toi et de leurs autres enfants, dans l’opulence.
Mon beau-père, le Rabbi, a raconté que les discours ‘hassidiques prononcés par nos maîtres, à l’occasion de leur Bar Mitsva, étaient introduits par le verset "faisons l’homme(2)". Mais, lorsque ce discours était reproduit, on en supprimait parfois l’introduction.
Il en résulte qu’un Bar Mitsva doit être un homme, Adam, au plein sens du terme. De fait, ce qualificatif est le plus élevé parmi les quatre qui désignent le genre humain, Adam, Ich, Guéver, Enoch, comme l’explique le Hayom Yom, à la date du 4 Elloul 5703 et le second chapitre du discours ‘hassidique intitulé "Et Amalek vint", de 5709(3), qui figure dans le fascicule n°62.
Il faut donc immédiatement faire des efforts en ce sens et ne pas s’en remettre à plus tard. En agissant de la sorte, on reçoit les forces morales nécessaires et l’on devient effectivement un homme, Adam, comme le dit le Séfer Hatoldot(4), à la page 64.
Tu as sans doute récité un discours ‘hassidique, au jour de ta Bar Mitsva et tu liras, chaque jour, le Psaume du Rabbi, qui est actuellement le Psaume 71(5). Tu le feras, sans en faire le voeu, au moins jusqu’à Roch Hachana 5711.
Je conclus en t’accordant ma bénédiction,
Rav Mena’hem Schneerson,
Notes
(1) Une même lettre a été adressée à plusieurs garçons atteignant leur Bar Mitsva. Celle-ci, identique aux autres, est donnée à titre d’exemple.
(2) "A Notre image et à Notre ressemblance".
(3) 1949, du précédent Rabbi.
(4) Du Rabbi Maharach, rédigé par le Rabbi et paru aux éditions Kehot en 5707-1947.
(5) Voir, à ce propos, la lettre n°644.
28 Tamouz 5710,
Au jeune homme, ...(1),
Je te salue et te bénis,
Ton père m’a écrit que tu es devenu Bar Mitsva, le 11 Tamouz et il sollicite ma bénédiction. Je t’exprime donc mes souhaits, conformes à ceux de mon beau-père, le Rabbi, pour que tu craignes D.ieu, sois un ‘Hassid et un érudit de la Torah, que tes parents conçoivent beaucoup de satisfaction, une satisfaction ‘hassidique, de toi et de leurs autres enfants, dans l’opulence.
Mon beau-père, le Rabbi, a raconté que les discours ‘hassidiques prononcés par nos maîtres, à l’occasion de leur Bar Mitsva, étaient introduits par le verset "faisons l’homme(2)". Mais, lorsque ce discours était reproduit, on en supprimait parfois l’introduction.
Il en résulte qu’un Bar Mitsva doit être un homme, Adam, au plein sens du terme. De fait, ce qualificatif est le plus élevé parmi les quatre qui désignent le genre humain, Adam, Ich, Guéver, Enoch, comme l’explique le Hayom Yom, à la date du 4 Elloul 5703 et le second chapitre du discours ‘hassidique intitulé "Et Amalek vint", de 5709(3), qui figure dans le fascicule n°62.
Il faut donc immédiatement faire des efforts en ce sens et ne pas s’en remettre à plus tard. En agissant de la sorte, on reçoit les forces morales nécessaires et l’on devient effectivement un homme, Adam, comme le dit le Séfer Hatoldot(4), à la page 64.
Tu as sans doute récité un discours ‘hassidique, au jour de ta Bar Mitsva et tu liras, chaque jour, le Psaume du Rabbi, qui est actuellement le Psaume 71(5). Tu le feras, sans en faire le voeu, au moins jusqu’à Roch Hachana 5711.
Je conclus en t’accordant ma bénédiction,
Rav Mena’hem Schneerson,
Notes
(1) Une même lettre a été adressée à plusieurs garçons atteignant leur Bar Mitsva. Celle-ci, identique aux autres, est donnée à titre d’exemple.
(2) "A Notre image et à Notre ressemblance".
(3) 1949, du précédent Rabbi.
(4) Du Rabbi Maharach, rédigé par le Rabbi et paru aux éditions Kehot en 5707-1947.
(5) Voir, à ce propos, la lettre n°644.