Lettre n° 6530
Par la grâce de D.ieu,
26 Tichri 5719,
Brooklyn,
Au Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav Chnéor Zalman(1) Ha Lévi,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu une demande de bénédiction pour un jeune garçon et j’ai été satisfait d’apprendre que tout s’est achevé dans la paix et le bien. Puisse D.ieu faire que celui-ci recouvre totalement la santé. Ses parents l’élèveront, avec leurs autres enfants, à la Torah, au dais nuptial et aux bonnes actions, illuminées et pénétrées de clarté et de chaleur ‘hassidiques.
Plusieurs textes, commentant le verset : “ Voici la Torah de l’homme ” établissent une comparaison et une similitude entre la Torah et l’homme juif. En outre, nos Sages disent que les deux cent quarante huit membres du corps de l’homme correspondent aux deux cent quarante huit Injonctions et ses trois cent soixante cinq nerfs, aux trois cent soixante cinq Interdits. En conséquence, il est bien évident qu’un ajout à la vitalité profonde et essentielle du corps est le meilleur traitement, le moyen le plus simple de raffermir et d’asseoir la santé physique. Il en est de même pour la santé de l’âme. Un ajout à sa vitalité profonde et essentielle renforce sa santé. Car, la santé de l’âme dépend de la Torah et de tout ce qui la concerne. Elle dépend, en l’occurrence, de l’enseignement profond de la Torah, de la dimension profonde des Mitsvot. Le moyen d’obtenir tout cela est donc l’étude de cette partie profonde de la Torah, car la santé du corps juif est conditionnée par celle de l’âme, qui est une “ parcelle de Divinité véritable ”(2).
En effet, le corps juif est également saint et le chapitre 49 du Tanya souligne qu’il a été dit, précisément à propos de ce corps grossier, “ Tu nous as choisis ”(3). Or, ce choix émane de l’Essence de D.ieu, comme l’établissent différents textes. Un ajout à l’étude de la partie profonde de la Torah qui, à notre époque, a été révélée par la ‘Hassidout, l’adoption de ses usages et de ses pratiques puisque l’acte, et non la théorie, est essentiel, sont le droit chemin le plus favorable qui permet d’obtenir la santé du corps. Quand il s’agit d’enfants de son âge, l’obligation en incombe aux parents, chacun selon ce qu’il peut accomplir. C’est bien évident. Puisse D.ieu faire, puisque vous m’avez transmis cette requête et cette information, que vous me donniez également, à l’avenir, de bonnes nouvelles de tout cela. Avec ma bénédiction pour que vous me donniez ces bonnes nouvelles.
Notes
(1) Le Rav C. Z. Duchman, de Brooklyn. Voir, à ce sujet, la lettre n°3260.
(2) Selon les termes du second chapitre du Tanya.
(3) L’élection d’Israël porte sur le corps juif et non sur l’âme qui est, en tout état de cause, une “ parcelle de Divinité véritable ”.
26 Tichri 5719,
Brooklyn,
Au Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav Chnéor Zalman(1) Ha Lévi,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu une demande de bénédiction pour un jeune garçon et j’ai été satisfait d’apprendre que tout s’est achevé dans la paix et le bien. Puisse D.ieu faire que celui-ci recouvre totalement la santé. Ses parents l’élèveront, avec leurs autres enfants, à la Torah, au dais nuptial et aux bonnes actions, illuminées et pénétrées de clarté et de chaleur ‘hassidiques.
Plusieurs textes, commentant le verset : “ Voici la Torah de l’homme ” établissent une comparaison et une similitude entre la Torah et l’homme juif. En outre, nos Sages disent que les deux cent quarante huit membres du corps de l’homme correspondent aux deux cent quarante huit Injonctions et ses trois cent soixante cinq nerfs, aux trois cent soixante cinq Interdits. En conséquence, il est bien évident qu’un ajout à la vitalité profonde et essentielle du corps est le meilleur traitement, le moyen le plus simple de raffermir et d’asseoir la santé physique. Il en est de même pour la santé de l’âme. Un ajout à sa vitalité profonde et essentielle renforce sa santé. Car, la santé de l’âme dépend de la Torah et de tout ce qui la concerne. Elle dépend, en l’occurrence, de l’enseignement profond de la Torah, de la dimension profonde des Mitsvot. Le moyen d’obtenir tout cela est donc l’étude de cette partie profonde de la Torah, car la santé du corps juif est conditionnée par celle de l’âme, qui est une “ parcelle de Divinité véritable ”(2).
En effet, le corps juif est également saint et le chapitre 49 du Tanya souligne qu’il a été dit, précisément à propos de ce corps grossier, “ Tu nous as choisis ”(3). Or, ce choix émane de l’Essence de D.ieu, comme l’établissent différents textes. Un ajout à l’étude de la partie profonde de la Torah qui, à notre époque, a été révélée par la ‘Hassidout, l’adoption de ses usages et de ses pratiques puisque l’acte, et non la théorie, est essentiel, sont le droit chemin le plus favorable qui permet d’obtenir la santé du corps. Quand il s’agit d’enfants de son âge, l’obligation en incombe aux parents, chacun selon ce qu’il peut accomplir. C’est bien évident. Puisse D.ieu faire, puisque vous m’avez transmis cette requête et cette information, que vous me donniez également, à l’avenir, de bonnes nouvelles de tout cela. Avec ma bénédiction pour que vous me donniez ces bonnes nouvelles.
Notes
(1) Le Rav C. Z. Duchman, de Brooklyn. Voir, à ce sujet, la lettre n°3260.
(2) Selon les termes du second chapitre du Tanya.
(3) L’élection d’Israël porte sur le corps juif et non sur l’âme qui est, en tout état de cause, une “ parcelle de Divinité véritable ”.