Lettre n° 6550
Par la grâce de D.ieu,
10 Mar ‘Hechvan 5719,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 5 ‘Hechvan, dans laquelle vous me dites que certains se moquent de vous parce que vous étudiez notre sainte Torah, dans une Yechiva. Comme vous le savez, les quatre parties du Choul’han Arou’h commencent par : “ On ne s’affectera pas de ceux qui se moquent ”. Vous consulterez ce que disent, à ce propos, le Tour et le Ramah. Bien au contraire, si vous vous affectez de ces moqueries, cela n’aura plus de fin et la chute sera de plus en plus basse, ce qu’à D.ieu ne plaise. Depuis que les enfants d’Israël ont reçu la Torah sur le mont Sinaï, les nations se moquent d’eux, comme l’expliquent les Midrashim de nos Sages. Mais, les Juifs se sont maintenus dans leur foi en D.ieu, Qui donne la Torah, dirige le monde et tout ce qui le concerne.
D.ieu assure aussi la subsistance de l’homme et de sa famille et l’on dit, dans la bénédiction qui suit le repas, instaurée par la Torah, qu’Il “ nourrit le monde entier par Son bienfait, Sa grâce, Sa bonté et Sa miséricorde ”. Il est donc bien évident qu’en intensifiant son étude de la Torah et sa pratique des Mitsvot, on reçoit des moyens de subsistance accrus, quand on en a besoin.
Puisse D.ieu faire que vous étudiez, avec ardeur et constance, la partie révélée de la Torah et la ‘Hassidout, que vous accomplissiez les Mitsvot de la meilleure façon. De la sorte, vous multiplierez les bénédictions de Celui Qui donne la Torah, en tout ce qui vous concerne, de même que pour les membres de votre famille. Vous avez sûrement connaissance des trois études fixées, qui portent sur le ‘Houmach, les Tehilim et le Tanya. Tout au moins les adopterez-vous à l’avenir. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles,
Pour le Rabbi Chlita,
10 Mar ‘Hechvan 5719,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 5 ‘Hechvan, dans laquelle vous me dites que certains se moquent de vous parce que vous étudiez notre sainte Torah, dans une Yechiva. Comme vous le savez, les quatre parties du Choul’han Arou’h commencent par : “ On ne s’affectera pas de ceux qui se moquent ”. Vous consulterez ce que disent, à ce propos, le Tour et le Ramah. Bien au contraire, si vous vous affectez de ces moqueries, cela n’aura plus de fin et la chute sera de plus en plus basse, ce qu’à D.ieu ne plaise. Depuis que les enfants d’Israël ont reçu la Torah sur le mont Sinaï, les nations se moquent d’eux, comme l’expliquent les Midrashim de nos Sages. Mais, les Juifs se sont maintenus dans leur foi en D.ieu, Qui donne la Torah, dirige le monde et tout ce qui le concerne.
D.ieu assure aussi la subsistance de l’homme et de sa famille et l’on dit, dans la bénédiction qui suit le repas, instaurée par la Torah, qu’Il “ nourrit le monde entier par Son bienfait, Sa grâce, Sa bonté et Sa miséricorde ”. Il est donc bien évident qu’en intensifiant son étude de la Torah et sa pratique des Mitsvot, on reçoit des moyens de subsistance accrus, quand on en a besoin.
Puisse D.ieu faire que vous étudiez, avec ardeur et constance, la partie révélée de la Torah et la ‘Hassidout, que vous accomplissiez les Mitsvot de la meilleure façon. De la sorte, vous multiplierez les bénédictions de Celui Qui donne la Torah, en tout ce qui vous concerne, de même que pour les membres de votre famille. Vous avez sûrement connaissance des trois études fixées, qui portent sur le ‘Houmach, les Tehilim et le Tanya. Tout au moins les adopterez-vous à l’avenir. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles,
Pour le Rabbi Chlita,