Lettre n° 6551
Par la grâce de D.ieu,
10 Mar ‘Hechvan 5719,
Brooklyn,
Je vous bénis et vous salue,
Je fais réponse à votre lettre du 7 ‘Hechvan, dans laquelle vous me faites part des propositions des médecins, concernant votre traitement. Il est clair qu’en pareil cas, on commence par le plus facile et le plus simple, c’est-à-dire uniquement les bains à Tibériade. Puisse D.ieu faire que la réussite en soit totale. D.ieu exaucera le souhait de votre cœur et vous aurez bientôt un enfant. Ceci me donne l’occasion de vous répéter ce dont vous vous souvenez sûrement. Lorsque vous étiez ici, j’ai dit et répété à votre mari, le Rav Chlita, qu’il doit être plus scrupuleux, pour tout ce qui concerne sa nourriture et sa boisson, afin de préserver la santé de son corps. Tout d’abord, il s’agit là d’une Injonction de la Torah, puisque, selon les termes du Rambam, “ avoir un corps en bonne santé et intègre fait partie des voies de D.ieu ”. En outre, cela est particulièrement important quand il s’agit d’avoir un enfant.
J’ai vu d’emblée que votre mari n’y accordait aucune importance. C’est pour cela que j’ai répété mes propos mais, depuis votre retour en Terre Sainte, j’ai bien peur que votre mari, le Rav, néglige cette précaution et ne lui accorde même pas un rôle accessoire. Bien entendu, ce que j’entends par une telle négligence est, en l’occurrence, bien simple. Qu’il demande donc à un médecin comment il doit manger et à quelle heure le faire, quels sont les aliments bons et sains. Et, qu’il en fasse de même pour tout ce qui peut avoir une incidence sur sa santé physique. Puisse D.ieu faire qu’il procède ainsi, au moins à l’avenir, au besoin par soumission, pourvu qu’il le fasse concrètement. Rien ne résiste à la volonté et s’il le veut réellement, il y parviendra. Bien entendu, je souhaite que vous montriez la présente à votre mari, le Rav. Puisse D.ieu faire qu’il en soit convaincu. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
E. Kwint,
10 Mar ‘Hechvan 5719,
Brooklyn,
Je vous bénis et vous salue,
Je fais réponse à votre lettre du 7 ‘Hechvan, dans laquelle vous me faites part des propositions des médecins, concernant votre traitement. Il est clair qu’en pareil cas, on commence par le plus facile et le plus simple, c’est-à-dire uniquement les bains à Tibériade. Puisse D.ieu faire que la réussite en soit totale. D.ieu exaucera le souhait de votre cœur et vous aurez bientôt un enfant. Ceci me donne l’occasion de vous répéter ce dont vous vous souvenez sûrement. Lorsque vous étiez ici, j’ai dit et répété à votre mari, le Rav Chlita, qu’il doit être plus scrupuleux, pour tout ce qui concerne sa nourriture et sa boisson, afin de préserver la santé de son corps. Tout d’abord, il s’agit là d’une Injonction de la Torah, puisque, selon les termes du Rambam, “ avoir un corps en bonne santé et intègre fait partie des voies de D.ieu ”. En outre, cela est particulièrement important quand il s’agit d’avoir un enfant.
J’ai vu d’emblée que votre mari n’y accordait aucune importance. C’est pour cela que j’ai répété mes propos mais, depuis votre retour en Terre Sainte, j’ai bien peur que votre mari, le Rav, néglige cette précaution et ne lui accorde même pas un rôle accessoire. Bien entendu, ce que j’entends par une telle négligence est, en l’occurrence, bien simple. Qu’il demande donc à un médecin comment il doit manger et à quelle heure le faire, quels sont les aliments bons et sains. Et, qu’il en fasse de même pour tout ce qui peut avoir une incidence sur sa santé physique. Puisse D.ieu faire qu’il procède ainsi, au moins à l’avenir, au besoin par soumission, pourvu qu’il le fasse concrètement. Rien ne résiste à la volonté et s’il le veut réellement, il y parviendra. Bien entendu, je souhaite que vous montriez la présente à votre mari, le Rav. Puisse D.ieu faire qu’il en soit convaincu. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
E. Kwint,