Lettre n° 6555
Par la grâce de D.ieu,
14 Mar ‘Hechvan 5719,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre express du 9 ‘Hechvan. Entre temps, vous avez sûrement reçu ma réponse à votre précédent courrier, qui répond à quelques questions que vous me posez. De façon générale, j’ai déjà dit qu’une institution, une organisation ne peut pas travailler de la manière qui convient si elle n’a aucune visibilité du projet en lequel elle s’engage, mais uniquement quelques impressions. Puis dès le début de l’action, on formule de nouvelles propositions, impliquant de considérables dépenses en moyens financiers, en hommes, en empressement ou même en tout cela à la fois. En effet, même les pays les plus puissants, possédant d’immenses réserves, établissent un budget annuel, auquel ils ajoutent simplement une annexe précisant qu’un dixième de ce budget est réservé à des dépenses nouvelles pour lesquelles il est impossible de faire des prévisions. Il n’en est pas de même si le budget n’est pas du tout de cet ordre de grandeur, s’il va même à l’opposé de cela.
Bien entendu, mon but n’est pas de me plaindre du passé, d’autant qu’il serait déplacé de le faire maintenant, alors que l’on est déjà engagé. En fait, je me préoccupe du présent et du futur. Comme je le disais dans ma précédente lettre, il est indispensable d’établir un budget, dont la prévision sera plausible et de savoir d’emblée que, si l’on se trompe, il ne sera pas possible de couvrir cette erreur. A l’autre extrême, il faudra éviter d’exagérer les prévisions, ce qui pourrait avoir pour effet d’annuler le projet, purement et simplement.
Vous faites référence à l’envoi d’une lettre au maire de la ville. Pour différentes raisons, je n’ai pas l’habitude de procéder de la sorte. En tout état de cause, ce n’est pas de cette façon que l’action doit être engagée. En revanche, cela pourra être envisagé par la suite, après que vous l’ayez déjà contacté. Vous me ferez savoir de quoi il a été question, les propos échangés entre vous et s’il y a lieu de réagir, de la manière qui convient. Vous me parlez également de l’heure supplémentaire que vous avez introduite pour la prière, bien que cette initiative ne fasse pas l’unanimité. Cette pratique est désormais instaurée depuis plusieurs jours déjà. Si elle est toujours en vigueur, il est clair qu’il faut la maintenir. Vous me ferez savoir ce qu’il en est et je pourrais peut-être adresser une courte lettre à tous ceux qui ont consacré de leur temps pour cela. Avec ma bénédiction de réussite en votre mission sacrée,
14 Mar ‘Hechvan 5719,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre express du 9 ‘Hechvan. Entre temps, vous avez sûrement reçu ma réponse à votre précédent courrier, qui répond à quelques questions que vous me posez. De façon générale, j’ai déjà dit qu’une institution, une organisation ne peut pas travailler de la manière qui convient si elle n’a aucune visibilité du projet en lequel elle s’engage, mais uniquement quelques impressions. Puis dès le début de l’action, on formule de nouvelles propositions, impliquant de considérables dépenses en moyens financiers, en hommes, en empressement ou même en tout cela à la fois. En effet, même les pays les plus puissants, possédant d’immenses réserves, établissent un budget annuel, auquel ils ajoutent simplement une annexe précisant qu’un dixième de ce budget est réservé à des dépenses nouvelles pour lesquelles il est impossible de faire des prévisions. Il n’en est pas de même si le budget n’est pas du tout de cet ordre de grandeur, s’il va même à l’opposé de cela.
Bien entendu, mon but n’est pas de me plaindre du passé, d’autant qu’il serait déplacé de le faire maintenant, alors que l’on est déjà engagé. En fait, je me préoccupe du présent et du futur. Comme je le disais dans ma précédente lettre, il est indispensable d’établir un budget, dont la prévision sera plausible et de savoir d’emblée que, si l’on se trompe, il ne sera pas possible de couvrir cette erreur. A l’autre extrême, il faudra éviter d’exagérer les prévisions, ce qui pourrait avoir pour effet d’annuler le projet, purement et simplement.
Vous faites référence à l’envoi d’une lettre au maire de la ville. Pour différentes raisons, je n’ai pas l’habitude de procéder de la sorte. En tout état de cause, ce n’est pas de cette façon que l’action doit être engagée. En revanche, cela pourra être envisagé par la suite, après que vous l’ayez déjà contacté. Vous me ferez savoir de quoi il a été question, les propos échangés entre vous et s’il y a lieu de réagir, de la manière qui convient. Vous me parlez également de l’heure supplémentaire que vous avez introduite pour la prière, bien que cette initiative ne fasse pas l’unanimité. Cette pratique est désormais instaurée depuis plusieurs jours déjà. Si elle est toujours en vigueur, il est clair qu’il faut la maintenir. Vous me ferez savoir ce qu’il en est et je pourrais peut-être adresser une courte lettre à tous ceux qui ont consacré de leur temps pour cela. Avec ma bénédiction de réussite en votre mission sacrée,