Lettre n° 6556
Par la grâce de D.ieu,
14 Mar ‘Hechvan 5719,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre, sollicitant une bénédiction, qui était datée du 9 ‘Hechvan. En un moment propice, celle-ci sera lue près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Puisse D.ieu faire que vous m’en donniez de bonnes nouvelles. Il est, en outre, évident, dès lors que vous sollicitez cette requête, que vous devez adopter un ajout à la pratique de la Torah et des Mitsvot, ce qui, bien entendu, inclut le fait d’exercer une influence positive sur son entourage, de le rapprocher de notre Père Qui se trouve dans les cieux. C’est le sens de l’Injonction : “ Tu aimeras ton prochain comme toi-même ”, qui est “ un grand principe de la Torah ”. Ceci augmente les bénédictions de D.ieu, grâce auxquelles Il exaucera positivement les souhaits de votre cœur.
Il me semble que nous avons parlé de l’adoption par vous des trois études bien connues qui portent sur le ‘Houmach, les Tehilim et le Tanya. Tout au moins les adopterez-vous à l’avenir. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
N. B. : Les ‘Hassidim de Pologne avaient coutume de dire qu’un marié se tenant sous le dais nuptial se trouve dans un moment propice pour obtenir que toutes les requêtes de son cœur soient exaucées. Cette affirmation est fondée sur différents enseignements de nos Sages, en particulier le fait que l’on pardonne toutes ses fautes à celui qui se marie, que “ le marié ressemble à un roi ” et, avant tout qu’il est semblable, quand il entre sous le dais nuptial, “ au jour de ta création, dans le Gan Eden, au préalable ”, avant la faute de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, alors que le monde connaissait encore la perfection. Il n’en est pas de même, en revanche, pour les raisons données par les premiers Sages, qui ne sont pas spécifiques au moment où l’on se tient sous le dais nuptial. C’est une évidence.
14 Mar ‘Hechvan 5719,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre, sollicitant une bénédiction, qui était datée du 9 ‘Hechvan. En un moment propice, celle-ci sera lue près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Puisse D.ieu faire que vous m’en donniez de bonnes nouvelles. Il est, en outre, évident, dès lors que vous sollicitez cette requête, que vous devez adopter un ajout à la pratique de la Torah et des Mitsvot, ce qui, bien entendu, inclut le fait d’exercer une influence positive sur son entourage, de le rapprocher de notre Père Qui se trouve dans les cieux. C’est le sens de l’Injonction : “ Tu aimeras ton prochain comme toi-même ”, qui est “ un grand principe de la Torah ”. Ceci augmente les bénédictions de D.ieu, grâce auxquelles Il exaucera positivement les souhaits de votre cœur.
Il me semble que nous avons parlé de l’adoption par vous des trois études bien connues qui portent sur le ‘Houmach, les Tehilim et le Tanya. Tout au moins les adopterez-vous à l’avenir. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
N. B. : Les ‘Hassidim de Pologne avaient coutume de dire qu’un marié se tenant sous le dais nuptial se trouve dans un moment propice pour obtenir que toutes les requêtes de son cœur soient exaucées. Cette affirmation est fondée sur différents enseignements de nos Sages, en particulier le fait que l’on pardonne toutes ses fautes à celui qui se marie, que “ le marié ressemble à un roi ” et, avant tout qu’il est semblable, quand il entre sous le dais nuptial, “ au jour de ta création, dans le Gan Eden, au préalable ”, avant la faute de l’arbre de la connaissance du bien et du mal, alors que le monde connaissait encore la perfection. Il n’en est pas de même, en revanche, pour les raisons données par les premiers Sages, qui ne sont pas spécifiques au moment où l’on se tient sous le dais nuptial. C’est une évidence.