Lettre n° 6561
Par la grâce de D.ieu,
20 Mar ‘Hechvan 5719,
Brooklyn,
Je te salue et te bénis,
Je fais réponse à ta lettre, dans laquelle tu me dis que l’on te propose d’être, tout d’abord, vérificateur puis, par la suite, Cho’het à Hamilton. De façon générale, avant de devenir un Cho’het indépendant, dans une ville où il n’y en a pas d’autre, il faut d’abord travailler avec d’autres Cho’hatim expérimentés. Même si l’on a étudié la Hala’ha avec des livres et auprès de Cho’hatim, même si l’on a acquis un peu de pratique, on ne peut pas encore considérer que l’on est un Cho’het à part entière et occuper ce poste seul, car “ nul n’est aussi sage que celui qui a acquis de l’expérience ”.
Même dans un endroit où la Che’hita porte uniquement sur des bêtes ne présentant pas d’adhérences, on ne peut pas savoir d’emblée à quelles questions, à quels doutes on sera confronté. Il est donc préférable de rester avec les Cho’hatim de Montréal et de continuer à acquérir de l’expérience, jusqu’à ce que celle-ci soit suffisante pour être le seul Cho’het de la ville. Et, l’on sait qu’en cas de doute, il est préférable de s’abstenir, surtout quand la responsabilité que l’on prend est aussi grande. Que D.ieu te conduise de la manière qui sera bonne pour Lui, dans ce domaine. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles,
20 Mar ‘Hechvan 5719,
Brooklyn,
Je te salue et te bénis,
Je fais réponse à ta lettre, dans laquelle tu me dis que l’on te propose d’être, tout d’abord, vérificateur puis, par la suite, Cho’het à Hamilton. De façon générale, avant de devenir un Cho’het indépendant, dans une ville où il n’y en a pas d’autre, il faut d’abord travailler avec d’autres Cho’hatim expérimentés. Même si l’on a étudié la Hala’ha avec des livres et auprès de Cho’hatim, même si l’on a acquis un peu de pratique, on ne peut pas encore considérer que l’on est un Cho’het à part entière et occuper ce poste seul, car “ nul n’est aussi sage que celui qui a acquis de l’expérience ”.
Même dans un endroit où la Che’hita porte uniquement sur des bêtes ne présentant pas d’adhérences, on ne peut pas savoir d’emblée à quelles questions, à quels doutes on sera confronté. Il est donc préférable de rester avec les Cho’hatim de Montréal et de continuer à acquérir de l’expérience, jusqu’à ce que celle-ci soit suffisante pour être le seul Cho’het de la ville. Et, l’on sait qu’en cas de doute, il est préférable de s’abstenir, surtout quand la responsabilité que l’on prend est aussi grande. Que D.ieu te conduise de la manière qui sera bonne pour Lui, dans ce domaine. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles,