Lettre n° 6565
Par la grâce de D.ieu,
23 Mar ‘Hechvan 5719,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Vous me faites part du problème rencontré par telle personne à propos des pièces consacrées à la Tsédaka. Parfois, elle les oublie, ou bien ne se trouve-t-elle pas chez elle(1). Or, il me semble lui avoir déjà écrit clairement qu’elle ne devait pas en faire le vœu. Si elle n’a pas procédé de la sorte, elle se déliera de son vœu devant trois personnes et, à l’avenir, elle adoptera cette pratique sans en faire le vœu. Bien entendu, la Tsédaka n’est pas nécessairement un don immédiat dans un tronc ou bien dans la main du pauvre. Si ni l’un ni l’autre ne sont à portée de main, il suffit de placer l’argent dans une enveloppe préparée à cet effet, ce que l’on peut faire également en marchant, sur le chemin. De même, vous arrangerez avec cette personne le second point qui est mentionné dans votre lettre, lequel, à l’évidence, est beaucoup plus important que le précédent.
Puisse D.ieu faire que cette personne non seulement se rapproche, mais aussi s’intègre, en tout point, parmi les ‘Hassidim, en ajoutant et en avançant, en “ s’humectant au point d’humecter les autres ”, y compris dans le milieu où elle évoluait auparavant. Sans doute préparez-vous, suffisamment à l’avance, un programme détaillé afin de profiter du mois de la délivrance(2) et des miracles(3), celui de Kislev, en particulier ses jours propices, les 10 et 19 Kislev, de même que ‘Hanouka, afin de renforcer le Judaïsme, en général, de diffuser les sources(4) jusqu’à ce qu’elles parviennent à l’extérieur, en particulier. Puisse D.ieu vous accorder en cela un grand succès. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout ce qui vient d’être dit,
Notes
(1) Etant ainsi empêchée d’effectuer un don quotidien.
(2) De l’Admour Hazaken des prisons tsaristes, le 19, puis de son fils, l’Admour Haémtsahi, le 10.
(3) En particulier celui de ‘Hanouka.
(4) De la ‘Hassidout.
23 Mar ‘Hechvan 5719,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Vous me faites part du problème rencontré par telle personne à propos des pièces consacrées à la Tsédaka. Parfois, elle les oublie, ou bien ne se trouve-t-elle pas chez elle(1). Or, il me semble lui avoir déjà écrit clairement qu’elle ne devait pas en faire le vœu. Si elle n’a pas procédé de la sorte, elle se déliera de son vœu devant trois personnes et, à l’avenir, elle adoptera cette pratique sans en faire le vœu. Bien entendu, la Tsédaka n’est pas nécessairement un don immédiat dans un tronc ou bien dans la main du pauvre. Si ni l’un ni l’autre ne sont à portée de main, il suffit de placer l’argent dans une enveloppe préparée à cet effet, ce que l’on peut faire également en marchant, sur le chemin. De même, vous arrangerez avec cette personne le second point qui est mentionné dans votre lettre, lequel, à l’évidence, est beaucoup plus important que le précédent.
Puisse D.ieu faire que cette personne non seulement se rapproche, mais aussi s’intègre, en tout point, parmi les ‘Hassidim, en ajoutant et en avançant, en “ s’humectant au point d’humecter les autres ”, y compris dans le milieu où elle évoluait auparavant. Sans doute préparez-vous, suffisamment à l’avance, un programme détaillé afin de profiter du mois de la délivrance(2) et des miracles(3), celui de Kislev, en particulier ses jours propices, les 10 et 19 Kislev, de même que ‘Hanouka, afin de renforcer le Judaïsme, en général, de diffuser les sources(4) jusqu’à ce qu’elles parviennent à l’extérieur, en particulier. Puisse D.ieu vous accorder en cela un grand succès. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout ce qui vient d’être dit,
Notes
(1) Etant ainsi empêchée d’effectuer un don quotidien.
(2) De l’Admour Hazaken des prisons tsaristes, le 19, puis de son fils, l’Admour Haémtsahi, le 10.
(3) En particulier celui de ‘Hanouka.
(4) De la ‘Hassidout.