Lettre n° 6593
Par la grâce de D.ieu,
9 Kislev 5719,
Brooklyn,
Je te salue et te bénis,
Je fais réponse à ta lettre du 16/11, dans laquelle j’ai lu, avec une grande surprise, que tu n’es plus étudiant à la Yechiva, bien que tu n’ais que vingt ans. Or, nos saints livres expliquent à quel point l’étude de la Torah est fondamentale, tout au long de la vie d’un homme. Combien plus est-ce le cas pendant les années au cours desquelles on n’est pas encore astreint à assurer la subsistance d’une famille. Selon l’expression bien connue de la Michna : “ Si ce n’est maintenant, quand cela sera-t-il ? ”. Et, il y aura suffisamment de temps par la suite pour se poser la question de ta carrière. Car, au final, c’est bien D.ieu Qui accorde les moyens de la subsistance et Il “ nourrit le monde entier par Sa bonté, avec grâce, bienfait et miséricorde ”. Or, D.ieu demande que l’on étudie la Torah et que l’on pratique les Mitsvot et, le moment venu, quand on doit adopter une activité, on peut, jusqu’au mariage, suivre une formation seulement pendant quelques heures par jour et passer le reste du temps à la Yechiva.
Tu envisages d’apprendre l’électronique à la maison. Je ne le comprends pas, car pour suivre de telles études, on doit disposer de machines et d’instruments, qui sont uniquement disponibles dans une école. Mais peut-être le mot électronique a-t-il été employé par erreur. Vos noms seront mentionnés, en un moment propice, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Celui de ta mère le sera également pour qu’elle obtienne la satisfaction de ses besoins. Bien entendu, tout ajout à la Torah et aux Mitsvot, de la part de chaque membre de la famille, et en particulier de ta part, puisque c’est toi qui formules cette requête, élargira les bénédictions de D.ieu en tous vos besoins.
Il serait judicieux que tu adoptes la pratique qui consiste à lire des Tehilim, selon leur répartition mensuelle, tous les matins, après la prière. Chaque jour de semaine, également avant la prière, tu donneras quelques cents à la Tsédaka. De même, ta mère adoptera l’usage positif des femmes juives, qui consiste à donner de la Tsédaka avant l’allumage des bougies, à la veille du Chabbat et des fêtes. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
9 Kislev 5719,
Brooklyn,
Je te salue et te bénis,
Je fais réponse à ta lettre du 16/11, dans laquelle j’ai lu, avec une grande surprise, que tu n’es plus étudiant à la Yechiva, bien que tu n’ais que vingt ans. Or, nos saints livres expliquent à quel point l’étude de la Torah est fondamentale, tout au long de la vie d’un homme. Combien plus est-ce le cas pendant les années au cours desquelles on n’est pas encore astreint à assurer la subsistance d’une famille. Selon l’expression bien connue de la Michna : “ Si ce n’est maintenant, quand cela sera-t-il ? ”. Et, il y aura suffisamment de temps par la suite pour se poser la question de ta carrière. Car, au final, c’est bien D.ieu Qui accorde les moyens de la subsistance et Il “ nourrit le monde entier par Sa bonté, avec grâce, bienfait et miséricorde ”. Or, D.ieu demande que l’on étudie la Torah et que l’on pratique les Mitsvot et, le moment venu, quand on doit adopter une activité, on peut, jusqu’au mariage, suivre une formation seulement pendant quelques heures par jour et passer le reste du temps à la Yechiva.
Tu envisages d’apprendre l’électronique à la maison. Je ne le comprends pas, car pour suivre de telles études, on doit disposer de machines et d’instruments, qui sont uniquement disponibles dans une école. Mais peut-être le mot électronique a-t-il été employé par erreur. Vos noms seront mentionnés, en un moment propice, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Celui de ta mère le sera également pour qu’elle obtienne la satisfaction de ses besoins. Bien entendu, tout ajout à la Torah et aux Mitsvot, de la part de chaque membre de la famille, et en particulier de ta part, puisque c’est toi qui formules cette requête, élargira les bénédictions de D.ieu en tous vos besoins.
Il serait judicieux que tu adoptes la pratique qui consiste à lire des Tehilim, selon leur répartition mensuelle, tous les matins, après la prière. Chaque jour de semaine, également avant la prière, tu donneras quelques cents à la Tsédaka. De même, ta mère adoptera l’usage positif des femmes juives, qui consiste à donner de la Tsédaka avant l’allumage des bougies, à la veille du Chabbat et des fêtes. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,