Lettre n° 6598
Par la grâce de D.ieu,
11 Kislev 5719,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre de la veille du Chabbat, dans laquelle vous m’interrogez, car il semble y avoir divergence de vue entre vous et votre épouse. Concernant cette question et, plus généralement, pour toutes celles qui peuvent être posées en la matière, les communautés ont des usages qui diffèrent. A New York, il y en a de nombreuses et chacune conserve ses propres usages. Or, conformément à l’enseignement de nos Sages, “ dans l’endroit de Rav, la Hala’ha adopte la position de Rav ”. Vous devez donc vous adresser au Rav, qui tranche la Hala’ha dans la communauté à laquelle vous appartenez. Celui-ci vous indiquera ce qu’il y a lieu de faire.
Dans certains domaines, néanmoins, tous les Juifs sont identiques et je saisis donc cette opportunité pour vous souligner l’un d’eux. Il s’agit de la nécessité d’étudier l’enseignement profond de la Torah qui, à notre époque, a été révélé par la ‘Hassidout. Certains, différentes personnes, pour l’heure, ne le font pas encore. Mais, il y a plusieurs raisons à cela et, en tout état de cause, l’obligation d’étudier cette partie de la Torah n’en est nullement diminuée, pour tous ceux qui ont eu connaissance de la ‘Hassidout de ses usages et de ses pratiques. Vous faites partie de ceux-là, puisque vous m’avez écrit. Vous consulterez donc les lois de l’étude de la Torah, chapitre 4, à la fin du paragraphe 4, de l’Admour Hazaken, auteur du Tanya et Décisionnaire de la partie cachée de la Torah, auteur du Choul’han Arou’h et Décisionnaire de la partie révélée de la Torah. . Vous verrez aussi l’introduction de Rabbi ‘Haïm Vital au Chaar Ha Hakdamot et le Kountrass Ets ‘Haïm du Rabbi Rachab, qui fait une analyse plus détaillée de la nécessité d’étudier la ‘Hassidout. Puisse D.ieu faire qu’au moins à l’avenir, vous en ayez une étude fixée. Selon le dicton de l’Admour Hazaken, cette fixation sera non seulement dans le temps, mais aussi dans l’âme. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
N. B. : Vous avez sûrement connaissance de l’usage qui concerne à lire des Tehilim, selon leur répartition mensuelle, chaque jour après la prière du matin. Tout au moins l’adopterez-vous, à l’avenir.
11 Kislev 5719,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre de la veille du Chabbat, dans laquelle vous m’interrogez, car il semble y avoir divergence de vue entre vous et votre épouse. Concernant cette question et, plus généralement, pour toutes celles qui peuvent être posées en la matière, les communautés ont des usages qui diffèrent. A New York, il y en a de nombreuses et chacune conserve ses propres usages. Or, conformément à l’enseignement de nos Sages, “ dans l’endroit de Rav, la Hala’ha adopte la position de Rav ”. Vous devez donc vous adresser au Rav, qui tranche la Hala’ha dans la communauté à laquelle vous appartenez. Celui-ci vous indiquera ce qu’il y a lieu de faire.
Dans certains domaines, néanmoins, tous les Juifs sont identiques et je saisis donc cette opportunité pour vous souligner l’un d’eux. Il s’agit de la nécessité d’étudier l’enseignement profond de la Torah qui, à notre époque, a été révélé par la ‘Hassidout. Certains, différentes personnes, pour l’heure, ne le font pas encore. Mais, il y a plusieurs raisons à cela et, en tout état de cause, l’obligation d’étudier cette partie de la Torah n’en est nullement diminuée, pour tous ceux qui ont eu connaissance de la ‘Hassidout de ses usages et de ses pratiques. Vous faites partie de ceux-là, puisque vous m’avez écrit. Vous consulterez donc les lois de l’étude de la Torah, chapitre 4, à la fin du paragraphe 4, de l’Admour Hazaken, auteur du Tanya et Décisionnaire de la partie cachée de la Torah, auteur du Choul’han Arou’h et Décisionnaire de la partie révélée de la Torah. . Vous verrez aussi l’introduction de Rabbi ‘Haïm Vital au Chaar Ha Hakdamot et le Kountrass Ets ‘Haïm du Rabbi Rachab, qui fait une analyse plus détaillée de la nécessité d’étudier la ‘Hassidout. Puisse D.ieu faire qu’au moins à l’avenir, vous en ayez une étude fixée. Selon le dicton de l’Admour Hazaken, cette fixation sera non seulement dans le temps, mais aussi dans l’âme. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
N. B. : Vous avez sûrement connaissance de l’usage qui concerne à lire des Tehilim, selon leur répartition mensuelle, chaque jour après la prière du matin. Tout au moins l’adopterez-vous, à l’avenir.