Lettre n° 6613
Par la grâce de D.ieu,
21 Kislev 5719,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu, le Rav Yochoua(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du lendemain(2) de la fête de la libération du 19 Kislev, dans laquelle vous me décrivez brièvement ce qui a été réalisé en ce jour. Puisse D.ieu faire que l’influence de ce jour se prolonge tout au long de l’année et qu’elle trouve son expression dans l’existence quotidienne.
En un moment propice, je mentionnerai votre nom, celui de votre épouse et celui de votre fils qui vient d’être circoncis, Yaakov David, auquel D.ieu accordera longue vie, afin que vous obteniez la satisfaction de vos besoins, conformément à ce que vous m’écrivez. Avec ma bénédiction pour un joyeux ‘Hanouka,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
Vous m’interrogez sur la manière d’attribuer les noms(3). On sait qu’il est dit, dans la Paracha que nous venons de lire(4) : “ et, il appela ”, “ et elle appela ”, “ et elle appela ”(5), dans les versets 38, 3-5. Nos maîtres, les auteurs des Tossafot et le Ramban commentent ces versets.
Notes
(1) Le Rav Y. Yusevitch, de Jérusalem. Voir, à ce sujet, la lettre n°5668.
(2) Le Rabbi dit : “ Issrou ‘Hag ”.
(3) Aux enfants, en fonction de la famille du père ou de la mère.
(4) La Parchat Vaychla’h.
(5) Le nom d’un enfant est attribué tantôt à l’initiative du père, tantôt à celle de la mère.
21 Kislev 5719,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu, le Rav Yochoua(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du lendemain(2) de la fête de la libération du 19 Kislev, dans laquelle vous me décrivez brièvement ce qui a été réalisé en ce jour. Puisse D.ieu faire que l’influence de ce jour se prolonge tout au long de l’année et qu’elle trouve son expression dans l’existence quotidienne.
En un moment propice, je mentionnerai votre nom, celui de votre épouse et celui de votre fils qui vient d’être circoncis, Yaakov David, auquel D.ieu accordera longue vie, afin que vous obteniez la satisfaction de vos besoins, conformément à ce que vous m’écrivez. Avec ma bénédiction pour un joyeux ‘Hanouka,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
Vous m’interrogez sur la manière d’attribuer les noms(3). On sait qu’il est dit, dans la Paracha que nous venons de lire(4) : “ et, il appela ”, “ et elle appela ”, “ et elle appela ”(5), dans les versets 38, 3-5. Nos maîtres, les auteurs des Tossafot et le Ramban commentent ces versets.
Notes
(1) Le Rav Y. Yusevitch, de Jérusalem. Voir, à ce sujet, la lettre n°5668.
(2) Le Rabbi dit : “ Issrou ‘Hag ”.
(3) Aux enfants, en fonction de la famille du père ou de la mère.
(4) La Parchat Vaychla’h.
(5) Le nom d’un enfant est attribué tantôt à l’initiative du père, tantôt à celle de la mère.