Lettre n° 6655
Par la grâce de D.ieu,
23 Tévet 5719,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu et assume
une mission divine, le Rav Yossef A.(1),
Je vous salue et vous bénis,
Après une interruption particulièrement longue, j’ai reçu votre lettre de l’issue du Chabbat Parchat Mikets et celle qui la précédait. Vous me décrivez brièvement vos actions sacrées, au sein de la communauté de Gibraltar. Puisse D.ieu faire que vous les développiez largement, car nous avons reçu l’Injonction de connaître l’élévation dans le domaine de la sainteté. Et, comme pour tout autre Précepte de D.ieu, Créateur du monde, Qui le dirige, les forces et les moyens de s’y conformer vous ont, d’emblée, été accordés, surtout dans les domaines communautaires, lorsque le mérite de ce qui est public vous vient en aide. D.ieu fasse donc que vous soyez plein d’empressement, avec joie et enthousiasme, ce qui, en outre, accroîtra le succès de votre action. Et, vous me donnerez de bonnes nouvelles de tout cela.
Bien que vous ne le précisiez pas, j’ai bon espoir que vous avez un temps fixé pour l’étude de l’enseignement profond de la Torah lequel, à notre époque, a été révélé par la ‘Hassidout. Actuellement, on attend cela(2) de chacun et, combien plus, de ceux qui exercent une influence au sein de leur communauté. En effet, tout ajout personnel aura une incidence sur ses membres et sur toute leur famille. C’est une évidence. Je vous présente mes respects et ma bénédiction de Mazal Tov, à l’occasion de la naissance de votre fils Morde’haï, que vous m’annoncez dans votre lettre. Vous et votre épouse l’éduquerez à la Torah, au dais nuptial et aux bonnes actions. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles,
Vous parlez de vos efforts pour fonder une école secondaire. Néanmoins, les études y seront mixtes(3), ce qui n’est pas le cas actuellement(4). Si l’étude dans les écoles publiques n’oblige pas les élèves à transgresser le saint Chabbat, ce qu’à D.ieu ne plaise, il est donc préférable, pour l’heure, de ne rien faire(5).
Notes
(1) Le Rav Y. A. Pitsipitsi, de Gibraltar. Voir, à ce sujet, les lettres n°4905 et 6979.
(2) Fixer un temps pour une telle étude.
(3) Les garçons et les filles seront mélangés.
(4) Peut-être dans l’école primaire.
(5) De ne pas créer une telle école.
23 Tévet 5719,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu et assume
une mission divine, le Rav Yossef A.(1),
Je vous salue et vous bénis,
Après une interruption particulièrement longue, j’ai reçu votre lettre de l’issue du Chabbat Parchat Mikets et celle qui la précédait. Vous me décrivez brièvement vos actions sacrées, au sein de la communauté de Gibraltar. Puisse D.ieu faire que vous les développiez largement, car nous avons reçu l’Injonction de connaître l’élévation dans le domaine de la sainteté. Et, comme pour tout autre Précepte de D.ieu, Créateur du monde, Qui le dirige, les forces et les moyens de s’y conformer vous ont, d’emblée, été accordés, surtout dans les domaines communautaires, lorsque le mérite de ce qui est public vous vient en aide. D.ieu fasse donc que vous soyez plein d’empressement, avec joie et enthousiasme, ce qui, en outre, accroîtra le succès de votre action. Et, vous me donnerez de bonnes nouvelles de tout cela.
Bien que vous ne le précisiez pas, j’ai bon espoir que vous avez un temps fixé pour l’étude de l’enseignement profond de la Torah lequel, à notre époque, a été révélé par la ‘Hassidout. Actuellement, on attend cela(2) de chacun et, combien plus, de ceux qui exercent une influence au sein de leur communauté. En effet, tout ajout personnel aura une incidence sur ses membres et sur toute leur famille. C’est une évidence. Je vous présente mes respects et ma bénédiction de Mazal Tov, à l’occasion de la naissance de votre fils Morde’haï, que vous m’annoncez dans votre lettre. Vous et votre épouse l’éduquerez à la Torah, au dais nuptial et aux bonnes actions. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles,
Vous parlez de vos efforts pour fonder une école secondaire. Néanmoins, les études y seront mixtes(3), ce qui n’est pas le cas actuellement(4). Si l’étude dans les écoles publiques n’oblige pas les élèves à transgresser le saint Chabbat, ce qu’à D.ieu ne plaise, il est donc préférable, pour l’heure, de ne rien faire(5).
Notes
(1) Le Rav Y. A. Pitsipitsi, de Gibraltar. Voir, à ce sujet, les lettres n°4905 et 6979.
(2) Fixer un temps pour une telle étude.
(3) Les garçons et les filles seront mélangés.
(4) Peut-être dans l’école primaire.
(5) De ne pas créer une telle école.