Lettre n° 6666
Par la grâce de D.ieu,
27 Tévet 5719,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu et se
consacre fidèlement aux besoins communautaires,
le Rav Yaakov(1) Ha Cohen,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 26 Tévet, avec ce qui y était joint. En plus de ce dont nous nous entretiendrons au téléphone, sans en faire le vœu, je voudrais souligner ici un point concernant ce que vous m’écrivez, conformément au dicton bien connu de l’Admour Hazaken selon lequel on doit vivre avec la Sidra de la semaine(2). Celle-ci(3) parle, en l’occurrence, d’un dur labeur, d’un âpre esclavage.
A ce propos, le Torah Or, dans les commentaires de la Parchat Chemot, le Or Ha Torah du Tséma’h Tsédek et d’autres textes, se basant sur le saint Zohar, soulignent que tous les événements décrits par cette Sidra ont un équivalent moral. Ainsi, comme cela est expliqué, le dur labeur est la question que l’on se pose pendant l’étude, le mortier est le raisonnement “ a fortiori ”, tous les travaux du champ sont la Boraïta(4) et les briques sont l’éclaircissement de la Hala’ha.
Cette conception(5) est bien plus agréable et la récompense en est bien plus importante. C’est une évidence. Il me semble que, dans le contenu de la Parchat Chemot, il est également question de tout cela, au moins brièvement. Je vous adresse ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela, pour un Chabbat joyeux, un Roch ‘Hodech joyeux et pour en conserver la joie pendant toute la semaine et tout le mois.
Notes
(1) Le Rav Y. Kats, de Chicago. Voir, à son sujet, les lettres n°5523 et 6987.
(2) L’Admour Hazaken dit : “ On doit vivre avec le temps ”.
(3) La Parchat Vaéra.
(4) Les enseignements des Sages de la Michna qui n’ont pas été inclus dans le texte de la Michna.
(5) Remplaçant le matériel par le spirituel.
27 Tévet 5719,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu et se
consacre fidèlement aux besoins communautaires,
le Rav Yaakov(1) Ha Cohen,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 26 Tévet, avec ce qui y était joint. En plus de ce dont nous nous entretiendrons au téléphone, sans en faire le vœu, je voudrais souligner ici un point concernant ce que vous m’écrivez, conformément au dicton bien connu de l’Admour Hazaken selon lequel on doit vivre avec la Sidra de la semaine(2). Celle-ci(3) parle, en l’occurrence, d’un dur labeur, d’un âpre esclavage.
A ce propos, le Torah Or, dans les commentaires de la Parchat Chemot, le Or Ha Torah du Tséma’h Tsédek et d’autres textes, se basant sur le saint Zohar, soulignent que tous les événements décrits par cette Sidra ont un équivalent moral. Ainsi, comme cela est expliqué, le dur labeur est la question que l’on se pose pendant l’étude, le mortier est le raisonnement “ a fortiori ”, tous les travaux du champ sont la Boraïta(4) et les briques sont l’éclaircissement de la Hala’ha.
Cette conception(5) est bien plus agréable et la récompense en est bien plus importante. C’est une évidence. Il me semble que, dans le contenu de la Parchat Chemot, il est également question de tout cela, au moins brièvement. Je vous adresse ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela, pour un Chabbat joyeux, un Roch ‘Hodech joyeux et pour en conserver la joie pendant toute la semaine et tout le mois.
Notes
(1) Le Rav Y. Kats, de Chicago. Voir, à son sujet, les lettres n°5523 et 6987.
(2) L’Admour Hazaken dit : “ On doit vivre avec le temps ”.
(3) La Parchat Vaéra.
(4) Les enseignements des Sages de la Michna qui n’ont pas été inclus dans le texte de la Michna.
(5) Remplaçant le matériel par le spirituel.