Lettre n° 6682
Par la grâce de D.ieu,
16 Chevat 5719,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 3 Chevat et à celle qui la précédait, avec la demande de bénédiction qui sera lue, en un moment propice, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. J’ai lu, avec intérêt, la description détaillée que vous faites de vos élèves et de ceux qui reçoivent votre influence. Sans doute ne vous affecterez-vous pas des difficultés auxquelles vous êtes confronté pour leur donner une bonne éducation. Au final, en effet, tout dépend de la motivation de l’élève et, bien entendu, du bon vouloir de l’enseignant.
Vous consulterez le Kountrass Ou Mayan, soulignant qu’il a réellement été dit de chacun : “ si tu fais des efforts ” et uniquement dans ce cas-là, “ ils seront couronnés de succès ”. Ainsi, tous, y compris ceux qui ont les plus larges aptitudes, doivent nécessairement avoir recours à l’effort. De même, tous, y compris ceux qui n’ont pas de grandes aptitudes, ont la certitude d’obtenir un résultat. Bien entendu, il en est de même pour un guide spirituel et un maître. Néanmoins, une telle personne tire une bénédiction et une réussite accrues en travaillant au sein des institutions Ohaleï Yossef Its’hak Loubavitch.
Mon beau-père, le Rabbi, chef d’Israël, invoque, à ce propos, la grande miséricorde de D.ieu, puisque ces institutions portent son nom. La bénédiction et la réussite accordées par D.ieu s’en trouvent accrues, y compris en vos préoccupations matérielles. J’ai bon espoir que, malgré votre travail d’une immense importance, au sein de cette école, vous avez fixé un temps pour l’étude de la partie révélée de la Torah et pour l’enseignement de la ‘Hassidout. Le temps consacré à cela doit être conséquent, c’est bien évident. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,
N. B. : Vous avez sûrement connaissance des trois études fixées qui portent sur le ‘Houmach, les Tehilim, le Tanya et vous les gardez.
16 Chevat 5719,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 3 Chevat et à celle qui la précédait, avec la demande de bénédiction qui sera lue, en un moment propice, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. J’ai lu, avec intérêt, la description détaillée que vous faites de vos élèves et de ceux qui reçoivent votre influence. Sans doute ne vous affecterez-vous pas des difficultés auxquelles vous êtes confronté pour leur donner une bonne éducation. Au final, en effet, tout dépend de la motivation de l’élève et, bien entendu, du bon vouloir de l’enseignant.
Vous consulterez le Kountrass Ou Mayan, soulignant qu’il a réellement été dit de chacun : “ si tu fais des efforts ” et uniquement dans ce cas-là, “ ils seront couronnés de succès ”. Ainsi, tous, y compris ceux qui ont les plus larges aptitudes, doivent nécessairement avoir recours à l’effort. De même, tous, y compris ceux qui n’ont pas de grandes aptitudes, ont la certitude d’obtenir un résultat. Bien entendu, il en est de même pour un guide spirituel et un maître. Néanmoins, une telle personne tire une bénédiction et une réussite accrues en travaillant au sein des institutions Ohaleï Yossef Its’hak Loubavitch.
Mon beau-père, le Rabbi, chef d’Israël, invoque, à ce propos, la grande miséricorde de D.ieu, puisque ces institutions portent son nom. La bénédiction et la réussite accordées par D.ieu s’en trouvent accrues, y compris en vos préoccupations matérielles. J’ai bon espoir que, malgré votre travail d’une immense importance, au sein de cette école, vous avez fixé un temps pour l’étude de la partie révélée de la Torah et pour l’enseignement de la ‘Hassidout. Le temps consacré à cela doit être conséquent, c’est bien évident. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,
N. B. : Vous avez sûrement connaissance des trois études fixées qui portent sur le ‘Houmach, les Tehilim, le Tanya et vous les gardez.