Lettre n° 6684
Par la grâce de D.ieu,
16 Chevat 5719,
Brooklyn,
Je vous bénis et vous salue,
Je fais réponse à votre lettre. En un moment propice, je mentionnerai votre nom et celui de vos enfants, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, conformément à ce que vous m’écrivez et, avant tout, pour que vous éduquiez vos enfants à la Torah, au dais nuptial et aux bonnes actions. Vous m’interrogez sur la Bar Mitsva de votre fils(1), qui aura treize ans en Tamouz, pour de longs jours et de bonnes années. L’enfant a perdu son père. Selon notre coutume, on ne fait pas de différence, en pareil cas(2), et l’on commence à porter les Tefillin deux mois avant le jour de la Bar Mitsva(3), celle-ci étant célébrée à la date de son anniversaire.
Vous gardez sûrement la coutume positive des femmes juives qui consiste à donner de la Tsédaka, chaque fois que l’on allume les bougies, à la veille du Chabbat et des fêtes. Il serait bon, en outre, de faire vérifier les Mezouzot de votre appartement, afin de vous assurer qu’elles sont toutes cachères, conformément à la Hala’ha. Vous habituerez votre fils à lire tous les jours, après la prière du matin, le Psaume correspondant au nombre de ses années, c’est-à-dire le Psaume 14 à partir du jour de sa Bar Mitsva, le Psaume 15 l’an prochain et ainsi de suite. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
Notes
(1) La femme qui est destinataire de cette lettre est veuve.
(2) Voir, à ce sujet, la lettre n°2816.
(3) Comme c’est le cas pour tous les autres enfants, alors que, selon d’autres coutumes, on le fait un an avant la Bar Mitsva, quand l’enfant est orphelin.
16 Chevat 5719,
Brooklyn,
Je vous bénis et vous salue,
Je fais réponse à votre lettre. En un moment propice, je mentionnerai votre nom et celui de vos enfants, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, conformément à ce que vous m’écrivez et, avant tout, pour que vous éduquiez vos enfants à la Torah, au dais nuptial et aux bonnes actions. Vous m’interrogez sur la Bar Mitsva de votre fils(1), qui aura treize ans en Tamouz, pour de longs jours et de bonnes années. L’enfant a perdu son père. Selon notre coutume, on ne fait pas de différence, en pareil cas(2), et l’on commence à porter les Tefillin deux mois avant le jour de la Bar Mitsva(3), celle-ci étant célébrée à la date de son anniversaire.
Vous gardez sûrement la coutume positive des femmes juives qui consiste à donner de la Tsédaka, chaque fois que l’on allume les bougies, à la veille du Chabbat et des fêtes. Il serait bon, en outre, de faire vérifier les Mezouzot de votre appartement, afin de vous assurer qu’elles sont toutes cachères, conformément à la Hala’ha. Vous habituerez votre fils à lire tous les jours, après la prière du matin, le Psaume correspondant au nombre de ses années, c’est-à-dire le Psaume 14 à partir du jour de sa Bar Mitsva, le Psaume 15 l’an prochain et ainsi de suite. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles,
Pour le Rabbi Chlita,
le secrétaire,
Notes
(1) La femme qui est destinataire de cette lettre est veuve.
(2) Voir, à ce sujet, la lettre n°2816.
(3) Comme c’est le cas pour tous les autres enfants, alors que, selon d’autres coutumes, on le fait un an avant la Bar Mitsva, quand l’enfant est orphelin.