Lettre n° 672
Par la grâce de D.ieu,
13 Mena’hem Av 5710,
Au grand Rav, distingué ‘Hassid, qui craint D.ieu,
le Rav C. Z.(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai lu avec plaisir votre lettre du 11 Mena’hem Av. Voici les raisons de ce plaisir:
A) Vous êtes allé à la campagne avec votre épouse. Vous utiliserez cette période pour vous renforcer physiquement et moralement. Puisse D.ieu faire que vous connaissiez, en cela, la réussite.
B) Vous avez commencé à vous intéresser sérieusement à la proposition de créer une école confessionnelle(2). Pour y parvenir, vous abandonnerez sans doute le pessimisme inhérent à la nature, comme l’explique le Torah Or Toledot, au chapitre 4 du commentaire intitulé "Les eaux nombreuses". Et vous transformerez ce pessimisme en ardeur à l’étude de la Torah(3).
C) Vous me dites que vous avez posé une condition pour accepter la responsabilité de cette école, celle de ne pas abandonner vos fonctions rabbiniques, qui vous ont été confiées par mon beau-père, le Rabbi.
J’attends de vos bonnes nouvelles et je conclus en vous bénissant et en vous saluant,
Mena’hem Schneerson,
Notes
(1) Le Rav Chnéor Zalman Hecht. Voir, à son propos, la lettre n°468.
(2) A Chicago.
(3) Voir, à ce propos, la lettre n°700.
13 Mena’hem Av 5710,
Au grand Rav, distingué ‘Hassid, qui craint D.ieu,
le Rav C. Z.(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai lu avec plaisir votre lettre du 11 Mena’hem Av. Voici les raisons de ce plaisir:
A) Vous êtes allé à la campagne avec votre épouse. Vous utiliserez cette période pour vous renforcer physiquement et moralement. Puisse D.ieu faire que vous connaissiez, en cela, la réussite.
B) Vous avez commencé à vous intéresser sérieusement à la proposition de créer une école confessionnelle(2). Pour y parvenir, vous abandonnerez sans doute le pessimisme inhérent à la nature, comme l’explique le Torah Or Toledot, au chapitre 4 du commentaire intitulé "Les eaux nombreuses". Et vous transformerez ce pessimisme en ardeur à l’étude de la Torah(3).
C) Vous me dites que vous avez posé une condition pour accepter la responsabilité de cette école, celle de ne pas abandonner vos fonctions rabbiniques, qui vous ont été confiées par mon beau-père, le Rabbi.
J’attends de vos bonnes nouvelles et je conclus en vous bénissant et en vous saluant,
Mena’hem Schneerson,
Notes
(1) Le Rav Chnéor Zalman Hecht. Voir, à son propos, la lettre n°468.
(2) A Chicago.
(3) Voir, à ce propos, la lettre n°700.