Lettre n° 6744
Par la grâce de D.ieu,
3 Adar Chéni 5719,
Brooklyn,
Au Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
Rav Chaoul Issa’har(1),
Je vous salue et vous bénis,
Après une longue interruption, j’ai bien reçu votre lettre de Roch ‘Hodech Adar Chéni. En un moment propice, je mentionnerai votre nom et celui de votre épouse, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, afin que vous obteniez la satisfaction de vos besoins, conformément à ce que vous m’écrivez.
Nous sommes actuellement dans le mois d’Adar et il convient alors de multiplier sa joie. Puisse donc D.ieu faire que vous m’annonciez des nouvelles joyeuses, d’un bien visible et tangible. A ce propos, vous consulterez le Torah Or, à la fin de la Parchat Béréchit, précisant la différence qu’il convient de faire entre la joie et le plaisir. Dans la mesure du possible, vous vous efforcerez également de diffuser les sources de la ‘Hassidout, non seulement auprès de “ l’autre ” que chacun porte en lui, en son âme animale, mais aussi auprès de l’autre, au sens littéral, c’est-à-dire de tous les Juifs. C’est bien évident et c’est aussi à ce propos qu’il a été dit : “ Rien ne résiste à la volonté ”. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles et pour un joyeux Pourim,
Vous m’interrogez sur le Zohar, tome 2, à la page 118a(2), qui dit : “ le dégât causé par les dents émane de l’homme ”. Vous consulterez, à ce propos, l’explication qui est donnée par le Or Ha ‘Haïm. Selon lui, le Zohar fait allusion à l’affirmation de la Michna selon laquelle : “ Un homme est systématiquement responsable de ses actes ”. De fait, on peut déduire cette interprétation des termes du Zohar, que vous consulterez, ce qui veut bien dire que, selon le Zohar, le dégât causé par les dents n’est pas celui de l’homme(3).
Notes
(1) Rav C. I. Bik, de Bneï Brak. Voir, à son sujet, les lettres n°6301 et 6919.
(2) Voir, à ce sujet, la lettre n°6919.
(3) Puisqu’il est commis par inadvertance, par exemple par un animal qui broute.
3 Adar Chéni 5719,
Brooklyn,
Au Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
Rav Chaoul Issa’har(1),
Je vous salue et vous bénis,
Après une longue interruption, j’ai bien reçu votre lettre de Roch ‘Hodech Adar Chéni. En un moment propice, je mentionnerai votre nom et celui de votre épouse, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, afin que vous obteniez la satisfaction de vos besoins, conformément à ce que vous m’écrivez.
Nous sommes actuellement dans le mois d’Adar et il convient alors de multiplier sa joie. Puisse donc D.ieu faire que vous m’annonciez des nouvelles joyeuses, d’un bien visible et tangible. A ce propos, vous consulterez le Torah Or, à la fin de la Parchat Béréchit, précisant la différence qu’il convient de faire entre la joie et le plaisir. Dans la mesure du possible, vous vous efforcerez également de diffuser les sources de la ‘Hassidout, non seulement auprès de “ l’autre ” que chacun porte en lui, en son âme animale, mais aussi auprès de l’autre, au sens littéral, c’est-à-dire de tous les Juifs. C’est bien évident et c’est aussi à ce propos qu’il a été dit : “ Rien ne résiste à la volonté ”. Avec ma bénédiction pour donner de bonnes nouvelles et pour un joyeux Pourim,
Vous m’interrogez sur le Zohar, tome 2, à la page 118a(2), qui dit : “ le dégât causé par les dents émane de l’homme ”. Vous consulterez, à ce propos, l’explication qui est donnée par le Or Ha ‘Haïm. Selon lui, le Zohar fait allusion à l’affirmation de la Michna selon laquelle : “ Un homme est systématiquement responsable de ses actes ”. De fait, on peut déduire cette interprétation des termes du Zohar, que vous consulterez, ce qui veut bien dire que, selon le Zohar, le dégât causé par les dents n’est pas celui de l’homme(3).
Notes
(1) Rav C. I. Bik, de Bneï Brak. Voir, à son sujet, les lettres n°6301 et 6919.
(2) Voir, à ce sujet, la lettre n°6919.
(3) Puisqu’il est commis par inadvertance, par exemple par un animal qui broute.