Lettre n° 6746
Par la grâce de D.ieu,
3 Adar Chéni 5719,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 28 Adar Richon, me demandant une bénédiction. En un moment propice, je mentionnerai le nom de votre mère, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, afin qu’elle obtienne la satisfaction de ses besoins, conformément à ce que vous m’écrivez.
C’est vous qui me présentez cette requête et vous êtes un élève de la Yechiva. Il est donc bien clair qu’il vous faut redoubler d’élan et d’ardeur à l’étude de la partie révélée de la Torah et de la ‘Hassidout, à la pratique des Mitsvot de la meilleure façon. Car, aussi bonne que puisse être une situation, un ajout reste toujours possible, en tout ce qui concerne le bien et la sainteté, dès lors que l’on est attaché à D.ieu, Qui est infini et Qui n’a pas de limites. J’espère qu’il est inutile de vous souligner la nécessité d’étudier l’enseignement profond de la Torah lequel, à notre époque, a été révélé par la ‘Hassidout. C’est, en outre, tout particulièrement, une obligation en la présente époque et en notre Terre Sainte, puisse-t-elle être restaurée et rebâtie, “ vers laquelle toujours sont tournés les yeux de D.ieu, du début de l’année à la fin de l’année ”.
Un élève de Yechiva, en particulier, doit passer sa journée dans les quatre coudées de la Torah et de la prière, surtout dans le domaine précédemment cité(1), quand est nécessaire une bénédiction de guérison et de bonne santé, laquelle est directement liée à l’étude de la Torah, comme le dit Moché, le “ berger fidèle ”, selon le Zohar, à la Parchat Nasso : “ L’autre côté n’a pas d’emprise là-bas ”, ce qui inclut aussi un mauvais état de santé(2). Vous consulterez aussi le commentaire que donnent nos Sages à propos des voies de la maladie. En effet, le Yerouchalmi, au traité Chabbat, chapitre 14, paragraphe 3, dit que : “ la maladie, c’est le penchant vers le mal ” et ses conséquences conduisent vers la situation la plus basse, ce qu’à D.ieu ne plaise. Différents textes expliquent tout cela, en particulier le Kountrass Ets ‘Haïm, du Rabbi Rachab et le discours ‘hassidique sur les cinquante portes de la compréhension, imprimé dans le Kountrass 18 Elloul 5703(3), de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Puisse D.ieu faire que la fixation, en la matière, soit, selon l’expression de l’Admour Hazaken, non seulement dans le temps, mais aussi dans l’âme. J’attends de vos bonnes nouvelles, à ce propos. Avec ma bénédiction,
N. B. : Vous avez sûrement connaissance des trois études fixées qui portent sur le ‘Houmach, les Tehilim, le Tanya et vous les gardez.
Notes
(1) L’étude de la ‘Hassidout.
(2) En pareil cas, la bénédiction révélée par l’étude de la Torah n’est pas soumise à l’emprise des forces du mal.
(3) 1943.
3 Adar Chéni 5719,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre du 28 Adar Richon, me demandant une bénédiction. En un moment propice, je mentionnerai le nom de votre mère, près du saint tombeau de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera, afin qu’elle obtienne la satisfaction de ses besoins, conformément à ce que vous m’écrivez.
C’est vous qui me présentez cette requête et vous êtes un élève de la Yechiva. Il est donc bien clair qu’il vous faut redoubler d’élan et d’ardeur à l’étude de la partie révélée de la Torah et de la ‘Hassidout, à la pratique des Mitsvot de la meilleure façon. Car, aussi bonne que puisse être une situation, un ajout reste toujours possible, en tout ce qui concerne le bien et la sainteté, dès lors que l’on est attaché à D.ieu, Qui est infini et Qui n’a pas de limites. J’espère qu’il est inutile de vous souligner la nécessité d’étudier l’enseignement profond de la Torah lequel, à notre époque, a été révélé par la ‘Hassidout. C’est, en outre, tout particulièrement, une obligation en la présente époque et en notre Terre Sainte, puisse-t-elle être restaurée et rebâtie, “ vers laquelle toujours sont tournés les yeux de D.ieu, du début de l’année à la fin de l’année ”.
Un élève de Yechiva, en particulier, doit passer sa journée dans les quatre coudées de la Torah et de la prière, surtout dans le domaine précédemment cité(1), quand est nécessaire une bénédiction de guérison et de bonne santé, laquelle est directement liée à l’étude de la Torah, comme le dit Moché, le “ berger fidèle ”, selon le Zohar, à la Parchat Nasso : “ L’autre côté n’a pas d’emprise là-bas ”, ce qui inclut aussi un mauvais état de santé(2). Vous consulterez aussi le commentaire que donnent nos Sages à propos des voies de la maladie. En effet, le Yerouchalmi, au traité Chabbat, chapitre 14, paragraphe 3, dit que : “ la maladie, c’est le penchant vers le mal ” et ses conséquences conduisent vers la situation la plus basse, ce qu’à D.ieu ne plaise. Différents textes expliquent tout cela, en particulier le Kountrass Ets ‘Haïm, du Rabbi Rachab et le discours ‘hassidique sur les cinquante portes de la compréhension, imprimé dans le Kountrass 18 Elloul 5703(3), de mon beau-père, le Rabbi, dont le mérite nous protégera. Puisse D.ieu faire que la fixation, en la matière, soit, selon l’expression de l’Admour Hazaken, non seulement dans le temps, mais aussi dans l’âme. J’attends de vos bonnes nouvelles, à ce propos. Avec ma bénédiction,
N. B. : Vous avez sûrement connaissance des trois études fixées qui portent sur le ‘Houmach, les Tehilim, le Tanya et vous les gardez.
Notes
(1) L’étude de la ‘Hassidout.
(2) En pareil cas, la bénédiction révélée par l’étude de la Torah n’est pas soumise à l’emprise des forces du mal.
(3) 1943.