Lettre n° 675
Par la grâce de D.ieu,
16 Mena’hem Av 5710,
Au Rav, distingué ‘Hassid, qui craint D.ieu,
le Rav A.(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre télégramme, m’apprenant que l’intervention chirurgicale aura lieu dimanche. J’ai lu une demande de bénédiction dans le bureau de mon beau-père, le Rabbi, où il reçoit et accorde ses bénédictions. Je mentionnerai également votre nom lorsque je serai près du tombeau. Ainsi, tout se passera bien et elle se rétablira promptement.
J’ai déjà écrit à quelqu’un(2) que je suis surpris de la manière sévère dont les ‘Hassidim interprètent ce qui arrive à eux-mêmes ou aux membres de leur famille. A différentes reprises, mon beau-père à dit, citant les maîtres de ‘Habad(3): "Si l’on se dit que tout est bien, tout ira effectivement bien".
Si je puis me permettre, je vous demanderais que l’on me fasse savoir, par la suite, qu’il en était bien ainsi, que tout s’est bien passé et que son état est satisfaisant.
J’attends de vos bonnes nouvelles et je conclus en vous adressant ma bénédiction, ainsi qu’aux membres de votre famille,
Mena’hem Schneerson,
Notes
(1) Le Rav Avraham Pariz. Voir, à son propos, la lettre n°615.
(2) Voir la lettre n°665.
(3) Dans l’une de ses lettres, le précédent Rabbi cite cette sentence au nom du Tséma’h Tsédek.
16 Mena’hem Av 5710,
Au Rav, distingué ‘Hassid, qui craint D.ieu,
le Rav A.(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre télégramme, m’apprenant que l’intervention chirurgicale aura lieu dimanche. J’ai lu une demande de bénédiction dans le bureau de mon beau-père, le Rabbi, où il reçoit et accorde ses bénédictions. Je mentionnerai également votre nom lorsque je serai près du tombeau. Ainsi, tout se passera bien et elle se rétablira promptement.
J’ai déjà écrit à quelqu’un(2) que je suis surpris de la manière sévère dont les ‘Hassidim interprètent ce qui arrive à eux-mêmes ou aux membres de leur famille. A différentes reprises, mon beau-père à dit, citant les maîtres de ‘Habad(3): "Si l’on se dit que tout est bien, tout ira effectivement bien".
Si je puis me permettre, je vous demanderais que l’on me fasse savoir, par la suite, qu’il en était bien ainsi, que tout s’est bien passé et que son état est satisfaisant.
J’attends de vos bonnes nouvelles et je conclus en vous adressant ma bénédiction, ainsi qu’aux membres de votre famille,
Mena’hem Schneerson,
Notes
(1) Le Rav Avraham Pariz. Voir, à son propos, la lettre n°615.
(2) Voir la lettre n°665.
(3) Dans l’une de ses lettres, le précédent Rabbi cite cette sentence au nom du Tséma’h Tsédek.