Lettre n° 6764
Par la grâce de D.ieu,
13 Adar Chéni 5719,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu et se consacre aux
besoins communautaires, le Rav Barou’h(1),
Je vous salue et vous bénis,
Après une longue interruption, je viens de recevoir votre lettre de l’issue du Chabbat, dans laquelle vous m’expliquez pourquoi vous ne m’avez pas écrit. Mais, vous connaissez l’explication de notre Torah, Torah de vie, selon laquelle celui qui ne fait pas une certaine action, du fait d’une situation de force majeure, ne peut pas pour autant être considéré comme s’il l’avait faite. En d’autres termes, aussi justifiées que soient les explications, elles ne peuvent être comparées au fait d’écrire. Pour autant, je suis content que vous m’écriviez, cette fois-ci avec un bon moral. Vous me dites ce qui a résulté de votre travail et il y a sûrement, en plus de cela, d’autres situations, dont vous n’avez pas connaissance, mais qui n’en sont pas moins le résultat de votre effort.
Vous me demandez d’écrire un article, destiné à être édité dans un livre dont vous préparez la publication(2). De façon générale, mon propos n’est pas d’écrire un article. En outre, j’ai de nombreuses activités desquelles, pour la plupart d’entre elles, je ne peux me libérer. En outre, celles-ci ne diminuent pas. Tel est mon travail, mais il prend plus de temps que ce que l’on aurait pu penser. C’est pour cela que je ne peux pas prendre un engagement dans le temps. Bien plus, vous me dites que vous avez un texte prêt, le début des Pirkeï de Rabbi Eliézer. Il n’y a donc pas lieu d’en retarder l’impression. Mon article ne s’y trouvera donc pas.
J’espère qu’à réception de la présente, votre épouse se sentira mieux, que vous n’aurez plus à vous préoccuper de la santé et que vous pourrez donc réserver votre action au renforcement du Judaïsme. C’est de cette façon que D.ieu promet à un Juif la satisfaction de tous ses besoins, de ceux des membres de sa famille et, point essentiel, une satisfaction véritable, c’est-à-dire une satisfaction juive de vos enfants et de tous les vôtres. Avec ma bénédiction pour donner des nouvelles bonnes et réjouissantes de tout cela,
Notes
(1) Le Rav B. Litwin, de Mont Clemens. Voir, à son sujet, les lettres n°5521 et 6890.
(2) Intitulé : “ La sainteté de la synagogue ”. Voir, à ce sujet, la lettre n°4476.
13 Adar Chéni 5719,
Brooklyn,
Au distingué ‘Hassid qui craint D.ieu et se consacre aux
besoins communautaires, le Rav Barou’h(1),
Je vous salue et vous bénis,
Après une longue interruption, je viens de recevoir votre lettre de l’issue du Chabbat, dans laquelle vous m’expliquez pourquoi vous ne m’avez pas écrit. Mais, vous connaissez l’explication de notre Torah, Torah de vie, selon laquelle celui qui ne fait pas une certaine action, du fait d’une situation de force majeure, ne peut pas pour autant être considéré comme s’il l’avait faite. En d’autres termes, aussi justifiées que soient les explications, elles ne peuvent être comparées au fait d’écrire. Pour autant, je suis content que vous m’écriviez, cette fois-ci avec un bon moral. Vous me dites ce qui a résulté de votre travail et il y a sûrement, en plus de cela, d’autres situations, dont vous n’avez pas connaissance, mais qui n’en sont pas moins le résultat de votre effort.
Vous me demandez d’écrire un article, destiné à être édité dans un livre dont vous préparez la publication(2). De façon générale, mon propos n’est pas d’écrire un article. En outre, j’ai de nombreuses activités desquelles, pour la plupart d’entre elles, je ne peux me libérer. En outre, celles-ci ne diminuent pas. Tel est mon travail, mais il prend plus de temps que ce que l’on aurait pu penser. C’est pour cela que je ne peux pas prendre un engagement dans le temps. Bien plus, vous me dites que vous avez un texte prêt, le début des Pirkeï de Rabbi Eliézer. Il n’y a donc pas lieu d’en retarder l’impression. Mon article ne s’y trouvera donc pas.
J’espère qu’à réception de la présente, votre épouse se sentira mieux, que vous n’aurez plus à vous préoccuper de la santé et que vous pourrez donc réserver votre action au renforcement du Judaïsme. C’est de cette façon que D.ieu promet à un Juif la satisfaction de tous ses besoins, de ceux des membres de sa famille et, point essentiel, une satisfaction véritable, c’est-à-dire une satisfaction juive de vos enfants et de tous les vôtres. Avec ma bénédiction pour donner des nouvelles bonnes et réjouissantes de tout cela,
Notes
(1) Le Rav B. Litwin, de Mont Clemens. Voir, à son sujet, les lettres n°5521 et 6890.
(2) Intitulé : “ La sainteté de la synagogue ”. Voir, à ce sujet, la lettre n°4476.