Lettre n° 6770
[15 Adar Chéni 5719]
J’ai bien reçu votre lettre, qui n’était pas datée. Vous m’y indiquez brièvement de quelle manière vous avez rendu compte de ce qui s’est passé ici. Vous me décrivez aussi la situation de votre ville. Puisse D.ieu faire que ce soient enfin de bonnes nouvelles qui parviennent de Terre Sainte, concernant les réalisations communautaires et les préoccupations personnelles, d’un bien visible et tangible. Jusqu’à quand en sera-t-il ainsi(1) ? Bien plus, on a annoncé que : “ tu te répandras…(2) ”. Les termes de ce verset doivent donc s’accomplir dans les quatre coudées de chacun, en particulier et dans celles de tous, en général. Je veux dire que chacun doit faire tout ce qui est en son pouvoir pour qu’il en soit bien ainsi, de la manière la plus évidente. Et, c’est à ce propos qu’il est dit : “ Il est certain qu’un effort n’est jamais vain ” et “ rien ne résiste à la volonté ”.
Chaque ‘Hassid, en particulier celui qui a été un élève de la Yechiva, reçoit une double mission. Il doit agir sur lui-même avec une ferme détermination et agir sur son prochain, de la manière qui convient. C’est une évidence. Nous sommes en Adar, mois duquel il a été dit qu’il fut transformé(3) et l’on doit donc rapprocher une délivrance de l’autre(4), passer d’Adar à Nissan, en se libérant de tout ce qui fait obstacle au service de D.ieu, dans la joie et l’enthousiasme. Puisse donc D.ieu faire que vous me donniez de bonnes nouvelles de tout ce qui vient d’être dit. Avec ma bénédiction pour donner très prochainement ces bonnes nouvelles et pour avoir une année de réussite, en vos accomplissements généraux et spécifiques,
Notes
(1) Jusqu’à quand les nouvelles transmises seront-elles systématiquement mauvaises ?
(2) “ A l’ouest et à l’est, au nord et au sud ”, selon le slogan retenu pour cette année. Voir, à ce sujet, la lettre n°6541.
(3) De détresse en joie et de deuil en fête.
(4) Celle de Pourim de celle de Pessa’h.
J’ai bien reçu votre lettre, qui n’était pas datée. Vous m’y indiquez brièvement de quelle manière vous avez rendu compte de ce qui s’est passé ici. Vous me décrivez aussi la situation de votre ville. Puisse D.ieu faire que ce soient enfin de bonnes nouvelles qui parviennent de Terre Sainte, concernant les réalisations communautaires et les préoccupations personnelles, d’un bien visible et tangible. Jusqu’à quand en sera-t-il ainsi(1) ? Bien plus, on a annoncé que : “ tu te répandras…(2) ”. Les termes de ce verset doivent donc s’accomplir dans les quatre coudées de chacun, en particulier et dans celles de tous, en général. Je veux dire que chacun doit faire tout ce qui est en son pouvoir pour qu’il en soit bien ainsi, de la manière la plus évidente. Et, c’est à ce propos qu’il est dit : “ Il est certain qu’un effort n’est jamais vain ” et “ rien ne résiste à la volonté ”.
Chaque ‘Hassid, en particulier celui qui a été un élève de la Yechiva, reçoit une double mission. Il doit agir sur lui-même avec une ferme détermination et agir sur son prochain, de la manière qui convient. C’est une évidence. Nous sommes en Adar, mois duquel il a été dit qu’il fut transformé(3) et l’on doit donc rapprocher une délivrance de l’autre(4), passer d’Adar à Nissan, en se libérant de tout ce qui fait obstacle au service de D.ieu, dans la joie et l’enthousiasme. Puisse donc D.ieu faire que vous me donniez de bonnes nouvelles de tout ce qui vient d’être dit. Avec ma bénédiction pour donner très prochainement ces bonnes nouvelles et pour avoir une année de réussite, en vos accomplissements généraux et spécifiques,
Notes
(1) Jusqu’à quand les nouvelles transmises seront-elles systématiquement mauvaises ?
(2) “ A l’ouest et à l’est, au nord et au sud ”, selon le slogan retenu pour cette année. Voir, à ce sujet, la lettre n°6541.
(3) De détresse en joie et de deuil en fête.
(4) Celle de Pourim de celle de Pessa’h.