Lettre n° 678
Par la grâce de D.ieu,
18 Mena’hem Av 5710,
A la direction de la Yechiva Torat Emet, à Jérusalem,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu votre lettre du 11 Mena’hem Av, dans laquelle vous m’annoncez que vous m’avez envoyé un bel Ethrog, d’une espèce qui n’a pas été greffée et je vous en remercie.
Vous connaissez l’enseignement de mon beau-père(1), le Rabbi, selon lequel: "Lorsque l’on dit(2) Veét Kol Mineï Tevouata Letova, et que toutes les cultures soient bonnes, on doit penser à la farine surveillée pour Pessa’h(3) et aux quatre espèces de Soukkot".
Bien évidemment, cela ne contredit nullement le sens simple de cette bénédiction, qui fait allusion à toutes les cultures, en général. En effet, la Torah est la source et le canal de la création et de la bénédiction qui se répand dans le monde, ainsi qu’il est dit: "Il consulta la Torah et créa le monde".
Il en est ainsi quotidiennement, ainsi qu’il est dit: "Il renouvelle, dans Sa bonté, chaque jour et toujours, la création originelle". Lorsque l’on met en pratique comme il convient tout ce qui est lié à la Torah et aux Mitsvot, les aspects matériels de la création sont conformes à ce qu’ils doivent être. Vous consulterez, à ce propos, l’introduction du Chneï Lou’hot Haberit, Baït A’haron, selon lequel la récompense de la Mitsva est naturelle(4)
Puisse D.ieu faire que nous mettions en pratique, l’an prochain, la Mitsva des quatre espèces, de la meilleure manière. Très bientôt et de nos jours, s’accomplira la promesse selon laquelle "ils formeront tous une seule assemblée pour accomplir Ta Volonté, d’un coeur entier".
Avec mes respects et ma bénédiction,
Mena’hem Schneerson,
Notes
(1) Rapporté par le Hayom Yom, à la date du 19 Tichri.
(2) Dans la Amida quotidienne.
(3) Pour les Matsot.
(4) Et non surnaturelle. Elle est la conséquence logique de son accomplissement.
18 Mena’hem Av 5710,
A la direction de la Yechiva Torat Emet, à Jérusalem,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai reçu votre lettre du 11 Mena’hem Av, dans laquelle vous m’annoncez que vous m’avez envoyé un bel Ethrog, d’une espèce qui n’a pas été greffée et je vous en remercie.
Vous connaissez l’enseignement de mon beau-père(1), le Rabbi, selon lequel: "Lorsque l’on dit(2) Veét Kol Mineï Tevouata Letova, et que toutes les cultures soient bonnes, on doit penser à la farine surveillée pour Pessa’h(3) et aux quatre espèces de Soukkot".
Bien évidemment, cela ne contredit nullement le sens simple de cette bénédiction, qui fait allusion à toutes les cultures, en général. En effet, la Torah est la source et le canal de la création et de la bénédiction qui se répand dans le monde, ainsi qu’il est dit: "Il consulta la Torah et créa le monde".
Il en est ainsi quotidiennement, ainsi qu’il est dit: "Il renouvelle, dans Sa bonté, chaque jour et toujours, la création originelle". Lorsque l’on met en pratique comme il convient tout ce qui est lié à la Torah et aux Mitsvot, les aspects matériels de la création sont conformes à ce qu’ils doivent être. Vous consulterez, à ce propos, l’introduction du Chneï Lou’hot Haberit, Baït A’haron, selon lequel la récompense de la Mitsva est naturelle(4)
Puisse D.ieu faire que nous mettions en pratique, l’an prochain, la Mitsva des quatre espèces, de la meilleure manière. Très bientôt et de nos jours, s’accomplira la promesse selon laquelle "ils formeront tous une seule assemblée pour accomplir Ta Volonté, d’un coeur entier".
Avec mes respects et ma bénédiction,
Mena’hem Schneerson,
Notes
(1) Rapporté par le Hayom Yom, à la date du 19 Tichri.
(2) Dans la Amida quotidienne.
(3) Pour les Matsot.
(4) Et non surnaturelle. Elle est la conséquence logique de son accomplissement.