Lettre n° 6789
Par la grâce de D.ieu,
28 Adar Chéni 5719,
Brooklyn,
Au Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu, aux multiples
accomplissements et aux comportements vertueux,
le Rav Yossef ‘Haïm(1) Ha Cohen et son épouse,
la Rabbanit Malka Reïzel(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre de la veille du Chabbat, avec ce qui y était joint. Vous me demandez si vous devez entreprendre l’étude des lois du divorce. Vous avez sûrement un temps fixé pour l’étude de la Torah, y compris de sa partie révélée. Vous pouvez effectivement consacrer ce moment à ces lois. J’ai, en outre, pris connaissance avec plaisir, dans votre lettre, de la liste des réunions ‘hassidiques qui ont été tenues ces derniers jours. Je suis surpris que vous ne me précisiez pas si, par la suite, la presse a fait état de ces réunions. Car, c’est là un des moyens permettant d’attirer un plus large public à la prochaine réunion et, plus généralement, aux activités qui sont organisées. C’est bien évident. Par ailleurs, il semble que le chèque envoyé en relation avec le bâton(2) ne soit, pour l’heure, pas encore parvenu. Bien entendu, cela est surprenant, mais vous possédez sûrement cette information.
Certains accomplissements ne requièrent aucun effort. Malgré cela, les hommes ne les font pas, par manque de connaissance. Je fais allusion, en particulier, à la vente du ‘Hamets(3). Il serait donc judicieux de faire imprimer tout cela(4) dans les journaux, en soulignant bien que cette démarche ne demande absolument aucun effort. Bien entendu, cela ne doit ôter à personne le moyen de gagner sa vie(5). Mais, en fait, si l’on fait la publicité qui convient, ce ne sera sûrement pas le cas, bien au contraire(6). C’est une évidence. Avec ma bénédiction pour donner des nouvelles bonnes et réjouissantes de tout cela,
Notes
(1) Le Rav Y. H. Rosenfeld, de S. Francisco. Voir, à son sujet, la lettre n°6612.
(2) Le “ bâton agréable ” dont il était question dans la lettre n°6612.
(3) Par chaque particulier, pendant la fête de Pessa’h, afin de ne pas transgresser l’interdiction de voir ou de posséder chez soi du ‘Hamets, pendant cette période.
(4) Une procuration, permettant de confier cette vente à un Rav.
(5) Par exemple celle d’un homme qui se ferait payer pour rendre ce service.
(6) Grâce aux personnes supplémentaires qui seront attirées à cette pratique.
28 Adar Chéni 5719,
Brooklyn,
Au Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu, aux multiples
accomplissements et aux comportements vertueux,
le Rav Yossef ‘Haïm(1) Ha Cohen et son épouse,
la Rabbanit Malka Reïzel(1),
Je vous salue et vous bénis,
Je fais réponse à votre lettre de la veille du Chabbat, avec ce qui y était joint. Vous me demandez si vous devez entreprendre l’étude des lois du divorce. Vous avez sûrement un temps fixé pour l’étude de la Torah, y compris de sa partie révélée. Vous pouvez effectivement consacrer ce moment à ces lois. J’ai, en outre, pris connaissance avec plaisir, dans votre lettre, de la liste des réunions ‘hassidiques qui ont été tenues ces derniers jours. Je suis surpris que vous ne me précisiez pas si, par la suite, la presse a fait état de ces réunions. Car, c’est là un des moyens permettant d’attirer un plus large public à la prochaine réunion et, plus généralement, aux activités qui sont organisées. C’est bien évident. Par ailleurs, il semble que le chèque envoyé en relation avec le bâton(2) ne soit, pour l’heure, pas encore parvenu. Bien entendu, cela est surprenant, mais vous possédez sûrement cette information.
Certains accomplissements ne requièrent aucun effort. Malgré cela, les hommes ne les font pas, par manque de connaissance. Je fais allusion, en particulier, à la vente du ‘Hamets(3). Il serait donc judicieux de faire imprimer tout cela(4) dans les journaux, en soulignant bien que cette démarche ne demande absolument aucun effort. Bien entendu, cela ne doit ôter à personne le moyen de gagner sa vie(5). Mais, en fait, si l’on fait la publicité qui convient, ce ne sera sûrement pas le cas, bien au contraire(6). C’est une évidence. Avec ma bénédiction pour donner des nouvelles bonnes et réjouissantes de tout cela,
Notes
(1) Le Rav Y. H. Rosenfeld, de S. Francisco. Voir, à son sujet, la lettre n°6612.
(2) Le “ bâton agréable ” dont il était question dans la lettre n°6612.
(3) Par chaque particulier, pendant la fête de Pessa’h, afin de ne pas transgresser l’interdiction de voir ou de posséder chez soi du ‘Hamets, pendant cette période.
(4) Une procuration, permettant de confier cette vente à un Rav.
(5) Par exemple celle d’un homme qui se ferait payer pour rendre ce service.
(6) Grâce aux personnes supplémentaires qui seront attirées à cette pratique.