Lettre n° 6791
Par la grâce de D.ieu,
29 Adar Chéni 5719,
Brooklyn,
Au grand Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav Eliézer Yerou’ham(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre feuillet de ce lundi, faisant référence aux propos du Divreï ‘Haïm sur la Torah(2), qui commente l’affirmation de nos Sages selon laquelle : “ Celui qui donne un Séla à la Tsédaka…(3) est un Juste parfait ”.
Il y a effectivement là une explication précieuse et l’on sait que la partie analytique de la Torah inclut six cent mille interprétations(4), comme le précise le Chaar Ha Guilgoulim(5), dans la dix septième introduction. Avec mes respects et ma bénédiction pour une fête de Pessa’h cachère et joyeuse,
Notes
(1) Le Rav E. Y. Halbershtam, de Brooklyn.
(2) Le Rabbi commentait, dans sa causerie du 10 Chevat 5719, rapportée dans le Likouteï Si’hot, tome 1, à la page 153, l’affirmation de nos Sages selon laquelle : “ Celui qui donne un Séla à la Tsédaka pour que son fils ait une longue vie est un Juste parfait ”. Rachi précise : “ S’il le fait couramment ”. Le Divreï ‘Haïm sur la Torah, citant son maître, le Rabbi de Lublin, précise ce que Rachi veut dire ici : “ S’il le fait couramment, son attitude, même si elle est d’abord intéressée, finira par être désintéressée. Dès lors, il sera un Juste parfait ”.
(3) Pour que son fils ait une longue vie.
(4) Que l’on peut donc développer dans toutes les directions.
(5) L’un des écrits du Ari Zal.
29 Adar Chéni 5719,
Brooklyn,
Au grand Rav, distingué ‘Hassid qui craint D.ieu,
le Rav Eliézer Yerou’ham(1),
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre feuillet de ce lundi, faisant référence aux propos du Divreï ‘Haïm sur la Torah(2), qui commente l’affirmation de nos Sages selon laquelle : “ Celui qui donne un Séla à la Tsédaka…(3) est un Juste parfait ”.
Il y a effectivement là une explication précieuse et l’on sait que la partie analytique de la Torah inclut six cent mille interprétations(4), comme le précise le Chaar Ha Guilgoulim(5), dans la dix septième introduction. Avec mes respects et ma bénédiction pour une fête de Pessa’h cachère et joyeuse,
Notes
(1) Le Rav E. Y. Halbershtam, de Brooklyn.
(2) Le Rabbi commentait, dans sa causerie du 10 Chevat 5719, rapportée dans le Likouteï Si’hot, tome 1, à la page 153, l’affirmation de nos Sages selon laquelle : “ Celui qui donne un Séla à la Tsédaka pour que son fils ait une longue vie est un Juste parfait ”. Rachi précise : “ S’il le fait couramment ”. Le Divreï ‘Haïm sur la Torah, citant son maître, le Rabbi de Lublin, précise ce que Rachi veut dire ici : “ S’il le fait couramment, son attitude, même si elle est d’abord intéressée, finira par être désintéressée. Dès lors, il sera un Juste parfait ”.
(3) Pour que son fils ait une longue vie.
(4) Que l’on peut donc développer dans toutes les directions.
(5) L’un des écrits du Ari Zal.