Lettre n° 6834
Par la grâce de D.ieu,
1er jour de Roch ‘Hodech Iyar 5719,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre de ce lundi, avec ce qui y était joint. Vous faites allusion à vos filles et vous m’expliquez pour quelle raison elles n’étaient pas présentes, lors de la réunion ‘hassidique de A’haron Chel Pessa’h(1). Il semble que cette raison soit très juste, car le respect dû à la mère fait partie des dix Commandements.
Pour autant, il faut se rappeler qu’il s’agit de A’haron Chel Pessa’h, du repas du roi Machia’h, du début d’un été en bonne santé et dans la joie. On aurait donc pu faire en sorte qu’elles mettent en pratique ce Précepte énoncé dans les dix Commandements(2) tout en assistant à cette réunion. Le moyen d’y parvenir est bien simple. Il aurait fallu que leur mère y soit également présente, d’autant que les raisons conduisant vos filles à y assister s’appliquent aussi à la mère, ou peut-être même encore plus à elle. C’est bien évident. Certes, nos Sages disent que l’on ne se plaint pas du passé. Ces quelques lignes sont donc écrites parce que cette question se posera sûrement encore une fois, à l’avenir. C’est une évidence. Avec ma bénédiction de réussite pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,
Notes
(1) Il était alors nécessaire qu’elles restent avec leur mère.
(2) Le respect des parents.
1er jour de Roch ‘Hodech Iyar 5719,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
J’ai bien reçu votre lettre de ce lundi, avec ce qui y était joint. Vous faites allusion à vos filles et vous m’expliquez pour quelle raison elles n’étaient pas présentes, lors de la réunion ‘hassidique de A’haron Chel Pessa’h(1). Il semble que cette raison soit très juste, car le respect dû à la mère fait partie des dix Commandements.
Pour autant, il faut se rappeler qu’il s’agit de A’haron Chel Pessa’h, du repas du roi Machia’h, du début d’un été en bonne santé et dans la joie. On aurait donc pu faire en sorte qu’elles mettent en pratique ce Précepte énoncé dans les dix Commandements(2) tout en assistant à cette réunion. Le moyen d’y parvenir est bien simple. Il aurait fallu que leur mère y soit également présente, d’autant que les raisons conduisant vos filles à y assister s’appliquent aussi à la mère, ou peut-être même encore plus à elle. C’est bien évident. Certes, nos Sages disent que l’on ne se plaint pas du passé. Ces quelques lignes sont donc écrites parce que cette question se posera sûrement encore une fois, à l’avenir. C’est une évidence. Avec ma bénédiction de réussite pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,
Notes
(1) Il était alors nécessaire qu’elles restent avec leur mère.
(2) Le respect des parents.