Lettre n° 685

Par la grâce de D.ieu,
21 Mena’hem Av 5710,

Au Rav, distingué ‘Hassid, qui craint D.ieu,
le Rav A. Pariz(1),

Je vous salue et vous bénis,

Je fais réponse à votre lettre du 14 Mena’hem Av.

J’ai écrit la lettre de la veille de Roch ‘Hodech Tamouz(2) pour souligner le mérite et l’obligation de prendre part au financement de l’administration centrale du Merkaz Leïnyaneï ‘Hinou’h, de Ma’hané Israël et des éditions Kehot, ce qui a été jusqu’ici le rôle personnel de mon beau-père, le Rabbi. Pour autant, je n’ai nullement écarté la possibilité de mener des actions éducatives ou de renforcement du Judaïsme dans l’endroit où vous vous trouvez.

Je suis donc surpris que vous vouliez cesser ce que vous avez fait jusqu’à maintenant et restituer les fonds aux donateurs. Je vous demanderais donc de ne pas prendre une position extrême, mais d’agir méthodiquement, afin de satisfaire ces deux besoins à la fois.

Je conclus en vous adressant ma bénédiction,

Mena’hem Schneerson,

Notes

(1) Le Rav Avraham Pariz. Voir, à son propos, la lettre n°615.
(2) La lettre n°633.