Lettre n° 6859
Par la grâce de D.ieu,
12 Iyar 5719,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Après une longue interruption, j’ai bien reçu votre lettre de l’issue du Chabbat. Vous évoquez les différentes causes justifiant la suppression de plusieurs cours donnés aux autres élèves. Or, vous connaissez le dicton qui dit : “ A quoi bon toutes les explications lorsque le résultat n’a pas été obtenu ? ”. Certes, s’il est absolument impossible qu’il en soit autrement, il est bien dit que : “ la Torah dispense d’agir, en cas de force majeure ”. Pour autant, “ on ne peut considérer une telle personne comme ayant effectivement agi ”.
Puisse D.ieu faire que vous-même et tous les ‘Hassidim reconnaissiez l’importance de la diffusion, qui est le bien de chacun de ceux qui s’y consacrent. Il faut donc s’y investir comme on le ferait pour son propre intérêt. Comme cela a été expliqué lors de la réunion ‘hassidique et de manière plaisante, cette période et ce monde fonctionnent à l’envers, y compris par rapport à ce qui est expliqué dans différents textes de ‘Hassidout, montrant l’élévation obtenue par le service de D.ieu, grâce auquel : “ la proximité de D.ieu est bonne pour moi ”. On agit donc également à l’envers, on étudie, on comprend, on perçoit et l’on pourrait expliquer à un plus petit que soi à quel point la proximité de D.ieu est bonne. Mais, on n’en applique pas les termes à sa propre personne, on ne se sent pas concerné, on ne se dit pas que la proximité de D.ieu est également bonne pour soi. D.ieu fasse donc que l’on commence par une telle explication, même si elle semble “ de peu d’importance ”.
Bien entendu, mon but n’est pas de vous faire de la morale, ce qu’à D.ieu ne plaise. Bien entendu, j’exclus tout découragement. Je ne fais qu’exprimer mon étonnement en constatant que des ‘Hassidim, peu à peu, s’écartent de la diffusion, de même que de toute action pour les institutions ‘Habad ou même pour l’étude publique. Et, D.ieu fasse que l’on m’annonce, en la matière, une évolution positive, “ bonne pour les cieux et bonne pour les créatures ”, d’un bien qui donne des fruits. Avec ma bénédiction de bonne santé et pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,
12 Iyar 5719,
Brooklyn,
Je vous salue et vous bénis,
Après une longue interruption, j’ai bien reçu votre lettre de l’issue du Chabbat. Vous évoquez les différentes causes justifiant la suppression de plusieurs cours donnés aux autres élèves. Or, vous connaissez le dicton qui dit : “ A quoi bon toutes les explications lorsque le résultat n’a pas été obtenu ? ”. Certes, s’il est absolument impossible qu’il en soit autrement, il est bien dit que : “ la Torah dispense d’agir, en cas de force majeure ”. Pour autant, “ on ne peut considérer une telle personne comme ayant effectivement agi ”.
Puisse D.ieu faire que vous-même et tous les ‘Hassidim reconnaissiez l’importance de la diffusion, qui est le bien de chacun de ceux qui s’y consacrent. Il faut donc s’y investir comme on le ferait pour son propre intérêt. Comme cela a été expliqué lors de la réunion ‘hassidique et de manière plaisante, cette période et ce monde fonctionnent à l’envers, y compris par rapport à ce qui est expliqué dans différents textes de ‘Hassidout, montrant l’élévation obtenue par le service de D.ieu, grâce auquel : “ la proximité de D.ieu est bonne pour moi ”. On agit donc également à l’envers, on étudie, on comprend, on perçoit et l’on pourrait expliquer à un plus petit que soi à quel point la proximité de D.ieu est bonne. Mais, on n’en applique pas les termes à sa propre personne, on ne se sent pas concerné, on ne se dit pas que la proximité de D.ieu est également bonne pour soi. D.ieu fasse donc que l’on commence par une telle explication, même si elle semble “ de peu d’importance ”.
Bien entendu, mon but n’est pas de vous faire de la morale, ce qu’à D.ieu ne plaise. Bien entendu, j’exclus tout découragement. Je ne fais qu’exprimer mon étonnement en constatant que des ‘Hassidim, peu à peu, s’écartent de la diffusion, de même que de toute action pour les institutions ‘Habad ou même pour l’étude publique. Et, D.ieu fasse que l’on m’annonce, en la matière, une évolution positive, “ bonne pour les cieux et bonne pour les créatures ”, d’un bien qui donne des fruits. Avec ma bénédiction de bonne santé et pour donner de bonnes nouvelles de tout cela,